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Nouvelles
3 février, fête de Saint Blaise de Sébaste, patron de l’église de Behren-village
Qui est saint Blaise : Médecin, il est nommé évêque en Arménie, puis il se retire dans une caverne où, tout en gérant son diocèse, il guérit les hommes ainsi que les animaux. Cela irrite le gouverneur de Cappadoce qui avait besoin d'animaux sauvages pour les jeux du cirque. Il est arrêté et jeté en prison. Il n'en continue pas moins ses guérisons, à travers les barreaux de sa cellule. En particulier, il retire de la gorge d'un enfant une arête de poisson qui menaçait de l'étouffer. Un autre jour, il fait rendre à une vieille femme la seule richesse qu'elle possédait : un porc. On tente en vain de le noyer dans un étang. Blaise marchait sur les eaux. Il est alors torturé avec des peignes de fer puis décapité en 316. Nommé saint auxiliaire, nous le vénérons et demandons sa bénédiction contre les maux de gorge, du corps et de l’âme et les maladies des enfants. Il est aussi vénéré comme modèle de la foi, par le don de sa personne au nom du Christ.
St Blaise est patron de nombreuses églises dont celle de Behren-village qui fut un lieu de pèlerinage très fréquenté et, de nos jours encore, lieu de dévotion de nombreux fidèles qui viennent recevoir sa bénédiction.
A l’issue de la messe solennelle de ce 3 février, fête du saint patron, le prêtre récite la prière à St Blaise pendant l’imposition de deux cierges croisés sous le menton des fidèles : "Que Dieu, par l’intercession de saint Blaise, évêque et martyr, te délivre du mal de gorge et de tout autre mal. Au nom du Père, et du Fils et du Saint-Esprit." La cérémonie se termine par la distribution de petits pains bénis à emporter.
(Eglise de Metz)
Semaine de prière pour l’unité chrétienne du 18 au 25 janvier 2019 : « Tu rechercheras la justice, rien que la justice » (Dt 16,18-20).
L’abbé Jean-Louis Barthelmé, délégué diocésain à l’œcuménisme : comment la Semaine de prière pour l’unité des chrétiens peut aider les chrétiens à vivre leur foi ?
Le mouvement œcuménique, c’est le meilleur moyen de comprendre et vivre la foi en Jésus Christ. Chacune de nos traditions, au fil des années, a plus ou moins développé différents aspects de la foi, et l’ouverture sur ce que proposent les autres traditions chrétiennes nourrissent notre propre manière de vivre de l’Évangile. Cette complémentarité est enrichissante pour chacun. Au sein de la Commission œcuménique mixte, nous essayons aussi d’avoir un regard plus large que la Moselle, pour comprendre ce qui se vit dans les différentes églises chrétiennes en France et dans le monde.
Le premier objectif de la Semaine de prière pour l’unité des chrétiens est de prier les uns pour les autres, que la diversité des églises chrétiennes soit ou non implantée sur chacun des territoires. Cette prière pour l’unité n’est pas optionnelle puisqu’elle nous est demandée par Jésus Lui-même. En Moselle, des initiatives très diverses sont proposées, qui sont le fruit de la créativité des communautés : conférences, soirées de prière à la manière de Taizé, célébrations communes, marche, temps de convivialité. À travers le thème 2019 de la Semaine de prière pour l’unité des chrétiens – « Tu chercheras la justice, rien que la justice » – nous pouvons aussi réfléchir à la manière dont nous pouvons agir ensemble.
Semaine de prière pour l’unité chrétienne du 18 au 25 janvier 2019
Les chrétiens d’Indonésie, inquiets par les situations de corruption qui gangrènent leur pays, nous invitent à prier pour l’unité avec un thème issu du livre du Deutéronome : « Tu rechercheras la justice, rien que la justice » (Dt 16,18-20).
Le thème est formulé ainsi en français : « Justice et paix s’embrassent : chemin d’unité ».
Textes bibliques de référence : Dt 16,11-20 et Ps 85 (84)
La Semaine de prière pour l’unité chrétienne 2019 a été préparée par les chrétiens d’Indonésie. L’Indonésie est le plus grand pays d‘Asie du Sud-Est avec plus de 17 000 îles, 1340 groupes ethniques différents et plus de 740 langues. Elle est pourtant unie dans sa diversité. Ce fragile équilibre est aujourd’hui menacé par de nouveaux problèmes. La corruption est très présente sous plusieurs formes et affecte particulièrement la justice.
Animés par ces inquiétudes, les chrétiens d’Indonésie ont trouvé que le verset du Deutéronome « Tu rechercheras la justice, rien que la justice… » (Dt 16,20) était un appel particulièrement pertinent pour eux et pour tous les chrétiens, ils nous proposent donc de prier avec les versets 11 à 20 de ce chapitre 16 du Deutéronome.
Rechercher la justice, c’est avancer ensemble vers la paix et l’unité. On ne peut pas construire la paix sans justice, la quête de l’unité est vaine sans le respect des minorités. Car « justice et paix s’embrassent » dit le psaume 85 (84), voilà notre chemin d’unité en cette Semaine de prière pour l’unité chrétienne 2019.
Prière
Ô Dieu de la vie,
Conduis-nous vers la justice et la paix,
Pour que toute personne qui souffre puisse connaître l’espérance,
Pour que le monde blessé trouve la guérison,
Et pour que les Églises divisées deviennent visiblement une,
Par celui qui a prié pour nous,
Et en qui nous sommes un seul corps,
Ton Fils, Jésus-Christ,
Qui, avec toi et le Saint Esprit,
Est digne d’être loué, un Dieu,
Maintenant et toujours.
Amen.
Prière de la 10ème assemblée du Conseil oecuménique des Églises à Busan en 2013.
18 JANVIER QUE LE DROIT JAILLISSE COMME LES EAUX
Lectures bibliques
Amos 5,22-25
Luc 11,37-44
Prière
Dieu de la veuve, de l’orphelin et de l’étranger, tu nous as montré le chemin de la justice. Aide-nous à suivre tes voies en pratiquant la justice, te rendant ainsi un culte véritable. Que l’Esprit Saint nous aide et nous conduise à travailler ensemble pour la justice, où que nous soyons, et qu’ainsi beaucoup de personnes en soient fortifiées. Nous te le demandons au nom de Jésus. Amen.
19 JANVIER QUAND VOUS PARLEZ, DITES « OUI » OU « NON »
Lectures bibliques
Éphésiens 4,22-25
Matthieu 5,33-37
Prière
Dieu de droiture, donne-nous la sagesse de distinguer le bien du mal. Préserve nos lèvres du mensonge. Donne-nous le courage de la vérité, même quand d’autres s’opposent à nous. Par ton Esprit, fais de nous des artisans d’unité et de paix qui annoncent la Bonne Nouvelle à tous. Nous t’en prions au nom de ton Fils, Jésus-Christ. Amen.
20 JANVIER LE SEIGNEUR EST BIENVEILLANT ET MISÉRICORDIEUX
Lectures bibliques
Psaume 145,8-13
Matthieu 1,1-17
Prière
Dieu unique, Père, Fils et Saint-Esprit, nous te louons pour ton immense gloire manifestée dans toute la création. Aide-nous à grandir dans l’amour, dépassant les préjugés et les injustices et respectant le caractère unique de toute personne. Accorde-nous la grâce de vivre l’unité dans notre diversité. Nous te le demandons par ton Nom très saint. Amen.
21 JANVIER CONTENTEZ-VOUS DE CE QUE VOUS AVEZ
Lectures bibliques
Hébreux 13,1-5
Matthieu 6,25-34
Prière
Dieu compatissant, nous te remercions de tes dons généreux. Fais-nous la grâce d’accepter toutes tes bénédictions avec simplicité et dans une humble gratitude. Rends-nous capables de partager avec d’autres qui sont dans le besoin, afin que nous puissions tous expérimenter l’unité dans l’amour qui vient de Toi notre Dieu qui vis et règnes pour les siècles des siècles. Amen.
22 JANVIER POUR ANNONCER LA BONNE NOUVELLE AUX PAUVRES
Lectures bibliques
Amos 8,4-8
Luc 4,16-21
Prière
Dieu notre Père, pardonne nos silences coupables face à des situations d’injustice. Par ton Esprit, aide-nous à mettre en pratique les paroles de ton Fils Jésus qui proclament ta promesse de libération de la pauvreté et de l’oppression. Nous te le demandons en son nom. Amen.
23 JANVIER LE SEIGNEUR EST LE CRÉATEUR DE TOUT
Lectures bibliques
Jérémie 10,12-16
Marc 16,14-15
Prière
Dieu d’amour, par ta Parole, tu crées toute chose. Nous te rendons grâce pour l’univers qui manifeste ta gloire, ta beauté et ta bonté. Par ton Esprit Saint, donne-nous la joie d’être ensemble des acteurs de la sauvegarde de la Création. Nous te le demandons au nom de ton Fils, ta Parole vivante. Amen.
24 JANVIER FEMME, TA FOI EST GRANDE !
Lectures bibliques
1 Samuel 1,13-17
Matthieu 15,21-28
Prière
Dieu de grâce, tu es la source de la dignité de tout être humain. Puisque nous cherchons à manifester l’unité de l’Église, accorde-nous le courage de rejeter toute forme de mépris envers les femmes et de célébrer les dons de l’Esprit que les femmes mettent au service des communautés chrétiennes. Nous te le demandons par Jésus-Christ notre Seigneur. Amen.
25 JANVIER LE SEIGNEUR EST MA LUMIÈRE ET MON SALUT
Lectures bibliques
Psaume 27,1-4
Jean 8,12-20
Prière
Dieu notre Soutien, nous te louons pour ton amour bienveillant, pour ton appui dans les moments d’épreuve, pour la lumière que tu nous manifestes aux moments de ténèbres. Aide-nous à vivre l’unité dans la diversité pour témoigner de notre communion avec toi, Toi qui es Père, Fils et Saint-Esprit, un seul Dieu maintenant et pour les siècles des siècles. Amen.
extraits RL du 9/01/18
L’abbé Jean-Pierre Vuillemin, curé modérateur de la paroisse de Saint-Goëry (Vosges), a été nommé, mardi, évêque auxiliaire du diocèse de Metz par le pape François.
« En lui, la joie d’être sauvé » sera la devise épiscopale de M gr Jean-Pierre Vuillemin. « Elle est inspirée du psaume 50 et il va falloir l’incarner. » Photo Ph. B.
« Un don pour toute l’Église »
Évêque de Saint-Dié, Mgr Didier Berthet évoque « les qualités humaines, spirituelles et pastorales de l’abbé Vuillemin » auquel « notre Diocèse doit beaucoup ». « Ce n’est pas sans un vrai renoncement que nous voyons partir ce prêtre zélé, solide et dynamique », souligne Mgr Berthet qui, évoquant la nécessaire sollicitude, souligne que « l’ordination d’un évêque est toujours un don pour toute l’Église »
Évêque de Saint-Dié, Mgr Didier Berthet évoque « les qualités humaines, spirituelles et pastorales de l’abbé Vuillemin » auquel « notre Diocèse doit beaucoup ». « Ce n’est pas sans un vrai renoncement que nous voyons partir ce prêtre zélé, solide et dynamique », souligne Mgr Berthet qui, évoquant la nécessaire sollicitude, souligne que « l’ordination d’un évêque est toujours un don pour toute l’Église ».
Mgr Lagleize : « Je serai son maître de stage en quelque sorte »
C’est une première depuis 43 ans. Mgr Lagleize, 103e évêque de Metz, sera assisté à partir du 3 février par un évêque auxiliaire, Mgr Jean-Pierre Vuillemin, une fois celui-ci ordonné.
Pourquoi un auxiliaire ?
Mgr Jean-Christophe Lagleize a des soucis de santé et surtout la lourde tâche d’accompagner la transformation profonde d’un département rattrapé par le reflux du catholicisme, comme « le reste de la France il y a trente ans ». « Nous avons deux à trois décès de prêtres par mois, contre une ordination cette année… ».
Quel a été le processus ?
Mgr Lagleize a écrit au Pape en décembre 2017. Le Vatican a donné son accord en janvier 2018. « Avec le nonce apostolique, on a établi une liste de candidats », explique l’évêque de Metz. Après enquête de personnalité, le nom du lauréat est parti à Rome, où il a été validé en avril. En France de l’intérieur, ça s’arrête là.
Pourquoi a-t-il été aussi long ?
En France concordataire, il faut que le chef de l’État donne son accord. Comme il ne peut y avoir qu’un évêque par diocèse, Mgr Jean-Pierre Vuillemin a été nommé évêque in partibus d’un diocèse disparu, celui de Thérouanne, dans le Pas-de-Calais (rasé par Charles Quint en 1553). Ensuite, il faut le faire valider par le conseil d’État, ce qui explique les huit mois d’attente jusqu’à la parution conjointe au Journal officiel, mardi matin à 2h et à Rome, à midi.
Quelles seront ses missions ?
Mgr Vuillemin en aura deux : mettre en œuvre la réforme du diocèse lancée en septembre dernier, qui a recomposé les archiprêtrés grâce à une équipe de quatorze personnes. Et accompagner les 300 prêtres mosellans (dont 180 actifs) dans la mutation de l’Église.
Pourquoi pas un Mosellan ?
« Je viens de Valence. Je ne voulais plus être le seul à avoir l’expérience de la France de l’intérieur, à savoir que les choses sont possibles quand on est pauvre et petit. » Bref, « bouger » les prêtres mosellans, habitués à un certain confort concordataire.
L’un sera-t-il le successeur de l’autre ?
Non. Mgr Lagleize a 64 ans, la retraite est à 75. « En général, auxiliaire, c’est un apprentissage. Je serai son maître de stage en quelque sorte, durant quelques années, avant qu’il ne soit nommé évêque ailleurs. »
Olivier JARRIGE
FÊTE PATRONALE DE KERBACH
dimanche 20 janvier 2019
Le Conseil de Fabrique organise le dimanche 20 janvier 2019, après la messe, un repas convivial
qui aura lieu au complexe sportif de Kerbach, suivi d´un après-midi café-gâteaux. Il y aura possibilité de prendre uniquement le café-gâteaux sur place à partir de 15h45.
PROGRAMME
10h00 Messe solennelle de la Saint Sébastien, patron de notre village,
au complexe sportif de Kerbach
à partir de 11h15 apéritif suivi du repas vers 12h15
15h45 ouverture du stand café-gâteaux
17h00 tirage au sort de la tombola
MENU
Terrine de poisson et sa sauce au raifort
Joue de bœuf à l’ancienne aux champignons
Brouette du jardinier
Plateau de fromages, salade
Repas adulte 16 € * Repas enfant 8€ jusqu´à 12 ans *
*Apéritif et boissons non compris
Animations : tombola – jeu coopératif – chants
Pour vous inscrire, veuillez utiliser le coupon-réponse ci-dessous, accompagné de votre règlement et l´adresser ou le remettre à l´un des membres du Conseil de Fabrique mentionnés ci-après avant le 17.01.2019 dernier délai. D’avance nous remercions les pâtissières pour la confection d’un gâteau. Merci à elles.
Jeannine BABIC 10, rue de la Source Kerbach Tél. : 03 87 88 11 59
Alice BOUR 30, rue de l´École Kerbach Tél. : 03 87 87 22 99
Joseph CARUSO 3, rue des Alouettes Kerbach Tél. : 06 87 93 25 13
Liborio TABONE 7, rue de l´École Kerbach Tél. : 03 87 85 48 89
Dominique WENDELS 21, rue des Hirondelles Kerbach Tél. : 03 87 85 08 85
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NOM : _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ Prénom : _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
Adresse : _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
Nombre de repas adulte : 16 € x _ _ _ _ _ _ _ = _ _ _ _ _ _ _ _ _ €
Nombre de repas enfant : 8 € x _ _ _ _ _ _ _ = _ _ _ _ _ _ _ _ _ €
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Quelques échos de Noël 2018
Le samedi 22 décembre en l’église St Blaise de Behren : L’esprit de Noël avec l’association culturelle de Behren
La veillée de Noël organisée par le comité de l’ACB (Association Culturelle de Behren) à l’église Saint-Blaise a attiré de nombreux habitants de la cité et du village.
La chorale a entonné des chants de leur répertoire sur des airs de Noël. Cette année la chorale a eu le plaisir d’accueillir dans ses rangs les chanteurs de la chorale Joie de vivre de Stiring-Wendel. Une quête a été effectuée durant cette veillée. Le conseil de fabrique et l’ACB ont décidé conjointement que les fonds récoltés seront reversés à une association. Claude Mei, président du conseil de fabrique remettra un chèque de 195 € au profit du Téléthon. (texte et photo RL)
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Dimanche 23 décembre 16h30 en l’église St Rémi de Kerbach : Concert de Noël du Brass Band et de la Chorale paroissiale de Kerbach au profit de l’association Neurogel en Marche.
Pendant le concert et pendant l’entracte, une quête a été faite et à la fin, il y a eu une petite vente de gâteaux et de vin chaud à l’extérieur.
L’intégralité des fonds récoltés sera reversée à l’association ‘Neurogel en marche’ pour participer au financement d’un essai clinique en Chine pour faire remarcher six patients paraplégiques / tétraplégiques. Les six patients français ont été sélectionnés par l’association pour cet essai clinique. Parmi eux figurent quatre hommes paraplégiques et deux femmes tétraplégiques dont Aline DENAY originaire de Spicheren. Ces patients seront opérés dans un centre spécialisé en Chine où ils subiront un curetage de la moelle épinière.
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Lundi 24 décembre veillée de noël en l’église Notre Dame De L’Assomption de Bousbach.
Les fidèles sont arrivés très nombreux pour assister à la Veillée de Noël animée par les enfants de la première communion et de l’ACE et avec la participation des confirmands.
(Merci à Serge pour ce compte-rendu)
Sainte Barbe honorée à Behren le 9 décembre 2018
En quatre temps :
-Tout d’abord une messe à l’église Saint Blaise à Behren les Forbach.
Dans le chœur la statue en bois de Sainte Barbe, trône sur un nouveau socle fabriqué par l’association Joliot Curie. Tout autour de l’autel les dix sept membres du chœur polyphonique sarde : Coro Peppinu Mereu Tonara invité par le Cercle Sarde de Behren.
Avec la présence de mineurs retraités et veuves de mineur d’ici, du Pas de Calais, du Doubs et de Belgique en lien avec l’Association LSR et des mineurs bénévoles et les sapeurs pompiers de Behren.
La bougie du deuxième dimanche de l’avent est allumée par un mineur. Un événement vient donner une teinte particulière à cette messe : le baptême de Gabin, huit mois, tout sourire.
C’est un grand moment de recueillement où nous avons prié pour les mineurs tués lors de catastrophes minières et des pompiers morts en service. Le prêtre met l’accent sur la longue chaine humaine qui, à la suite des prophètes, de Jean Baptiste, de Sainte Barbe, des dix neuf martyres d’Algérie, dont les sept moines de Tibhirine, Mgr Pierre Claverie (mort avec sont chauffeur Algérien, Mohamed) qui on été béatifié la veille au sanctuaire de Santa Cruz à Oran(Algérie)
recueillement de cette grande assemblée.Nous sommes transportés par les chants de la chorale Sarde et par le recueillement de cette grande assemblée.
- Au sortir de l’église, l’harmonie municipale a ouvert la marche, suivie de la statue de Sainte Barbe portée par mineurs et pompiers et d’une foule courageuse. Nous nous rendons à l’église Jean Bosco où nous attendait une vingtaine de membres de la communauté musulmane, pour un moment de prise de parole plus citoyenne. Sainte Barbe n’a pas que protégé des chrétiens ! Et surtout aujourd’hui où il n’y a plus que des mineurs retraités, comment garder l’esprit du Mineur ? Et c’est Mohamed Boucharouit qui d’une façon naturelle et pleine de convictions, parle de la fraternité, de la solidarité au fond de la mine où l’on ne faisait aucune différence entre les hommes. Comment garder cet esprit aujourd’hui, et se sentir tous citoyens pour bien vivre ensemble à Behren.
Ensuite la parole est donnée à Jonathan Kessler, président de l’amicale des Sapeurs Pompiers. Il insiste sur le service rendu à tous sans distinction. Et enfin un bénévole mineur Eugène Ograbek, nous lit avec émotion un poème. Tous ces discours ont été chaleureusement applaudis.
-Puis nous avons tous étaient accueillis dans le hall de la résidence des Platanes, rue des Cévennes pour un copieux apéritif offert par la municipalité. Ce fut encore un grand moment de convivialité et de fraternité, rehaussé par des chants polyphoniques Sardes.
-Un grand merci à tous les participants, à tous les paroissiens bénévoles, aux membres des différents services de la mairie qui ont permis la réussite de cet événement.
Béatification des 19 martyrs d’Algérie : « Ces Bienheureux aimaient le peuple algérien »
Publié le 05 décembre 2018 Église de france
Le 8 décembre 2018, les dix-neuf religieux catholiques assassinés durant la « décennie noire » de la guerre civile, seront béatifiés au sanctuaire de Santa Cruz à Oran (Algérie). Monseigneur Paul Desfarges, archevêque d’Alger, avait rédigé en novembre 2018, une lettre pastorale qui explique le sens de la démarche de l’Église catholique en Algérie. Voici son témoignage.
Qui étaient les 19 martyrs assassinés au cours de la guerre civile algérienne entre 1994 et 1996 (moines de Tibhirine, Mgr Pierre Claverie, frère Henri Vergès, des Pères Blancs et six religieuses de différentes congrégations) ?
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Ces dix-neuf frères et sœurs « Bienheureux » sont une image, une icône, de ce qu’est l’identité de notre Église. Ils ont donné leur vie à Dieu, à l’Algérie et au peuple algérien. Ils ont passé leurs vies à aimer et à servir ce peuple qui était dans l’épreuve de la tourmente, de la violence (NDLR Guerre civile algérienne dans les années 1990). Ils pensaient que leurs relations avec leurs frères et sœurs, avec lesquels ils avaient partagé toute leur existence, étaient plus importantes que de protéger leur vie. Ils étaient autant en danger qu’eux, mais ils avaient fait le choix de rester en Algérie pour les soutenir. Je crois que cela dit quelque chose de ce qu’est notre Église.
Comment appréhendez-vous cet évènement ?
En toute confiance. Cette béatification est une grande joie. La façon dont l’Église rend hommage à ces hommes et ces femmes est un beau cadeau que le Seigneur nous fait. Ce sont vraiment des saints « ordinaires » car, pris dans la tourmente, ils donnaient leur vie à Dieu. Ils vivaient leur quotidien avec des hauts et des bas. Mais , tous les jours, ils se disaient que ça valait la peine de rester en Algérie car leurs relations avec leurs frères et sœurs algériens primaient sur leurs appréhensions.
Comment se sont déroulés les préparatifs ?
Nous sommes allés d’heureuses surprises en heureuses surprises. Les autorités ont donné leur feu vert. Elles ont facilité l‘obtention des visas, les voyages en avion, les logements. Je sens que l’Esprit Saint est derrière tout cela. C’est évident, la grâce est là. Les « Bienheureux » nous aident. Nous voulons que la cérémonie soit à la couleur de ce qu’ont été leurs vies.
En quoi cette béatification est-elle un évènement important ?
En 2018, nous vivons dans un monde où l’on ne croit pas, où la fraternité est menacée, en particulier avec nos frères et sœurs musulmans. Nous pouvons dire à travers cette cérémonie qu’il est possible de vivre des relations d’amitié, de fraternité, d’estime avec des musulmans. Par exemple, je suis en admiration, devant le personnel algérien, musulman , qui travaille dans nos services Caritas. Ce sont des hommes et des femmes qui vivent ici par la qualité, la générosité, leur don, leur engagement dans le service. Celui qui aime est née de Dieu et vit de Dieu.
En quoi cette béatification sera-t-elle placée sous le signe de l’amitié et de la fidélité au peuple algérien ?
Cette béatification n’est pas une cérémonie entre chrétiens. C’est une cérémonie de chrétiens avec nos frères et sœurs musulmans pour honorer le vivre-ensemble en paix. C’est comme cela que nous devons avancer. Les victimes chrétiennes seront associées aux 114 imams qui avaient refusé de cautionner la violence pendant la décennie noire. Pendant la guerre civile, il y eut aussi un certain nombre de journalistes, d’écrivains, d’artistes, de pères et de mères de familles qui ont désobéi aux groupes armés. Certains ont été fidèles à leur foi, à leur conscience, à leur amour du pays et ils en sont malheureusement morts. Nous ne pouvons pas honorer nos martyrs sans prendre tous les autres dans nos prières, nos louanges ou nos actions de grâce.
Pourquoi la cérémonie de béatification se déroulera-t-elle à Oran ?
Elle aura lieu au sanctuaire de Santa Cruz, à Oran, car Mgr Pierre Claverie, dominicain, fut évêque du diocèse d’Oran de 1981 à 1996. D’ailleurs, l’Église a choisi d’appeler cette cause : « Béatification de Mgr Pierre Claverie et ses dix-huit compagnons ». Il a été assassiné le 1 er aout 1996, par une bombe qui a explosé au moment même où il ouvrait la porte du garage de son évêché. Il était avec son jeune ami Mohamed Bouchikhi qui a perdu la vie en même temps que lui. Dans un petit carnet, Mohamed avait écrit que la vie valait la peine de prendre des risques « pour un homme comme lui ». Il savait que Mgr Pierre Claverie avait une parole forte et vigoureuse et qu’elle pouvait gêner.
Quels liens vous unissaient à Monseigneur Pierre Claverie, assassiné le 1er août 1996 ?
Nous nous connaissions depuis toujours. Il était vicaire général quand je suis devenu évêque. J’allais à la réunion de la CERNA (Conférence des évêques de la région Nord de l’Afrique). On se voyait, on parlait, on échangeait. C’était un frère.
Qui sera présent à cette cérémonie ?
Du côté algérien, le président algérien a donné son aval. Il y aura un représentant du Président de la République, soit le Président du Sénat, soit celui des affaires religieuses. Sur 1200 personnes présentes au sanctuaire de Santa Cruz, 300 Algériens sont invités. La cérémonie sera retransmise en direct aussi à la basilique Notre-Dame d’Afrique d’Alger où nous attendons plus de 1500 personnes.
Le Pape François ne viendra pas à cet évènement. Le Cardinal Giovanni Angelo Becciu, préfet de la Congrégation de la cause des saints (chargée au Vatican de l’ensemble des processus de béatification et canonisation) a été désigné pour le représenter…
Il ne vient pas parce que ce n’est pas lui qui vient pour les béatifications. Ce n’est pas non plus le moment le plus opportun. Nous allons entrer en période électorale en Algérie. Mais l’idée que le Pape François puisse venir en Algérie fait son chemin.
Le processus de béatification a été assez rapide. Cet évènement aidera-t-il à aller vers un chemin de paix et de réconciliation ?
Dans les années 1990, la situation était dramatique pour tout le monde. J’étais à Constantine. De nombreuses familles ont été touchées d’une manière ou d’une autre par les désaccords ou les divisions. La guerre civile a fait de 150 000 à 200 000 morts. Les plaies ne sont pas complétement cicatrisées. La béatification aidera à les guérir. Nous avons rencontré le Pape François le 1 er septembre 2017 avec Mgr Jean-Paul Vesco, évêque d’Oran et le Père Thomas Georgeon, moine trappiste. Nous étions venus défendre en audience privée la cause en béatification des 19 martyrs. Il nous a conseillé d’être délicat et d’entreprendre une bonne catéchèse. On s’aperçoit justement que c’est en bonne voie. Cet évènement ne doit pas être vécu comme une plainte tournée vers le passé mais plutôt vers l’Espérance et l’avenir.
Vingt ans après la guerre civile, comment poursuivre le travail interreligieux ?
Grâce au cheikh Khaled Bentounes et à la confrérie religieuse soufi Alawiyya, l’Algérie a pu faire aboutir une résolution à l’Organisation des Nations Unies (ONU) le 8 décembre 2017, celle de faire du 16 mai la « Journée internationale du vivre-ensemble en paix ». J’espère que cette journée deviendra importante parce que l’Autre est mon frère en humanité. Je ne peux pas être disciple de Jésus si je ferme mon cœur. Que ce dialogue inter-religieux soit difficile à mener, que ça nous demande des conversions, c’est une chose. Mais des hommes et des femmes ont donné leurs vies et ont manifesté que ce chemin de fraternité vaut la peine d’être vécu. Nous sommes dans le pays du Père Charles de Foucauld (NDLR. 1858-1916), je voudrais vivre de telle façon que les autres puissent me reconnaitre comme l’un de leurs frères. Vivre avec l’autre me fait du bien. Je ne dis pas que c’est facile. La vie reste la vie. Mais tout de même, ce chemin-là permet d’être heureux.
Les 19 martyrs
Les sept frères des moines de Tibhirine (Trappistes)
Frère Christian de Chergé (1937-1996), frère Christophe (1950-1996), frère Luc (1914-1996), frère Michel (1944-1996), frère Bruno (1930-1996), frère Célestin (1933-1996), frère Paul (1939-1996).
Des religieuses et religieux
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Frère Henri Vergès, frère mariste
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Sœur Paul-Hélène Saint-Raymond – Petite Sœur de l’Assomption
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Sœur Esther Paniagua Alonso – Sœur Augustine Missionnaire
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Sœur Caridad Álvarez Martín – Sœur Augustine Missionnaire
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Jeanne Littlejohn sœur Angèle-Marie – Sœur de Notre-Dame des Apôtres
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Denis Leclercq Sœur Bibiane – Sœur de Notre-Dame des Apôtres
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Sœur Odette Prevost – Petite Sœur du Sacré-Cœur
Quatre missionnaires d’Afrique
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Jean Chevillard
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Alain Dieulangeard
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Charles Deckers
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Christian Chessel
Qu'est ce que l'AVENT
La réponse du père Cédric Burgun
Avant Noël s’ouvre le temps de l’Avent, qui commence cette année le 2 décembre 2018. L’avent (avec un « e ») est certes un temps qui précède Noël. Mais d’où vient ce temps et quel est son but ?
Un temps où l’on prépare son cœur à fêter Noël
Le temps de l’Avent compte quatre dimanches avant Noël. Historiquement, on sait que l’avent avait surtout pour but de tourner notre prière et nos cœurs vers ce que l’on appelle les «fins dernières», autrement dit le retour du Christ, que tous les chrétiens attendent. Aujourd’hui encore, notre Avent honore donc ces deux aspects : méditer sur le retour du Christ (en gros, les 2 premières semaines) et ensuite la préparation de nos cœurs à célébrer Noël, du 16 au 24 décembre et qui est une préparation plus centrée sur la fête même de Noël avec la lecture des évangiles qui précèdent la naissance du Christ et les divers événements : l’annonce de la naissance de Jean le Baptiste ; l’annonce à la Vierge Marie, à saint Joseph, la nativité de saint Jean-Baptiste, etc.
Avec Saint Jean-Baptiste, attendre Noël
Saint Jean-Baptiste est un personnage clé de l’avent puisque c’est lui qui appelle sans cesse le peuple à se convertir pour accueillir le Messie de Dieu. En effet, le Messie de Dieu ne s’accueille que par un cœur ayant le désir de se convertir à sa parole. En quelque sorte, il incarne bien l’esprit de l’avent puisque c’est le prophète de l’attente par excellence : il prépare les chemins du Seigneur, il montre l’agneau de Dieu, le Christ, qui vient dans le monde.
Se préparer à recevoir Jésus avec la Vierge Marie
La Vierge Marie tient aussi une place toute particulière puisque son rôle et sa place dans l’accueil de Dieu au cœur de sa vie sont particulièrement offerts à notre prière. Qui d’autre mieux que Marie, dans l’attente de la naissance de son fils, peut montrer à l’Église, et donc à nous-mêmes, comment disposer nos cœurs à le recevoir ? Elle est la figure de l’attente et de la confiance en Dieu par excellence.
L’Avent, pour apprendre à préférer Jésus
Comme nos cœurs sont dans l’attente et appelés à se convertir pour mieux accueillir l’Enfant Jésus, quelques « signes » liturgiques vont signifier cela : en plus de la couleur violette que revêtent les prêtres par les ornements liturgiques, on ne chante plus le Gloria à la messe du dimanche. C’est le chant des anges la nuit de Noël : on le «réserve» donc pour cette fête, comme pour mieux le retrouver à Noël.
Le violet est aussi la couleur de la « pénitence » dans l’Église, un mot que l’on aime moins… Jean-Baptiste «proclamait un baptême de conversion pour le pardon des péchés !» La conversion est toujours tournée vers une joie plus grande qu’est l’accueil de Dieu dans nos vies. C’est cela que nous célébrerons le 25 décembre et c’est pour cela que nous disposons nos cœurs à préférer Jésus à toute chose. Regardez Marie par exemple : elle avait un beau projet de mariage avec Joseph ! Ces deux personnages (comme tant d’autres saints d’ailleurs) avaient des projets, une vie bien réglée, une belle situation et pouvaient légitimement profiter de l’existence. Mais ils ont préféré Dieu à toute autre chose. C’est le témoignage que nous recevons pendant l’Avent.
Père Cédric Burgun prêtre du diocèse de Metz
Message du pape pour la 2° Journée mondiale des pauvres
le 18 novembre 2018 - 33° dimanche du temps ordinaire
Extraits (I.MEDIA) Pour le message intégral voir ici
Dans son Message pour la 2e Journée mondiale des pauvres, publié par le Saint-Siège le 14 juin 2018, le pape François a souhaité que cet événement fêté le 18 novembre prochain soit un moment privilégié pour l’évangélisation.
Dans un monde qui marginalise les pauvres et les considère comme des déchets, la bonne attitude, chrétienne, évangélique, consiste au contraire à donner “la première place“ à ceux qui sont dans le besoin, a expliqué le pontife.
Les pauvres sont pour lui ceux qui crient vers Dieu, “le cœur brisé“ par la tristesse et la solitude. Ceux dont la dignité est foulée aux pieds, ceux encore qui sont “persécutés par une justice inique“ et des politiques “indignes de ce nom“.
Ecouter le cri des pauvres
Ce cri, a poursuivi le pape, engage à un “examen de conscience sérieux“, pour l’écouter et y répondre en s’engageant personnellement. Les pauvres mettent ainsi en cause notre “indifférence, fruit d’une vision de la vie trop immanente“, c’est-à-dire tournée vers le présent.
Car les pauvres “nous évangélisent“, a rappelé le successeur de Pierre, à la suite saint Vincent de Paul (1581-1660), en aidant à découvrir chaque jour la “beauté“ de l’Evangile. “Ne passons pas à côté de cette occasion de grâce“, a-t-il recommandé. Commentant le thème de cette Journée – ‘Un pauvre crie, le Seigneur entend’ – il a souligné que l’attitude du psalmiste consiste à transformer sa pauvreté en “un chant de louange et d’action de grâce“.
C’est également l’expérience de sainte Thérèse d’Avila, citée par le pontife : une espérance “fondée sur l’amour de Dieu qui n’abandonne pas celui qui se confie en Lui“. Dès lors, cette expérience peut être vécue par chacun, sous la forme d’une “pauvreté en esprit“. “C’est être le souverain de tous les biens du monde que de les mépriser“, affirmait ainsi la mystique espagnole (1515-1582).
Attitude aimante plutôt qu’assistance
Privilégiant “l’attitude aimante“ vis-à-vis des pauvres plutôt que “l’assistance“, le pape a salué les multiples initiatives chrétiennes de proximité envers les plus démunis. Il a toutefois mis en garde contre l’attitude qui consiste davantage à “nous satisfaire nous-mêmes“ qu’à entendre “réellement“ le cri des pauvres, dans une culture qui pousse “à nous regarder dans la glace“.
Concrètement, le 18 novembre prochain, l’évêque de Rome a invité à prier ensemble avec les pauvres, et à partager avec eux le repas du dimanche. La Journée mondiale des pauvres a été lancée par le pape François le 13 novembre 2016, après le Jubilé des sans-abri organisé par l’association Fratello, au cours de l’Année de la miséricorde. Dans sa lettre de conclusion de l’année sainte, Misericordia et misera, le 21 novembre suivant, le pontife avait institué une journée dédiée uniquement aux pauvres chaque 33e dimanche du temps ordinaire
Rappelons que le 18 novembre 2018 est aussi la journée nationale du Secours Catholique et que les quêtes de ce jour de toutes les églises de France lui sont versées pour lui permettre de secourir les nécessiteux .
SOLIDARITÉ Stiring-Wendel : 11e Nuit de la charité à l’église Saint-François - nuit du 17 au 18 novembre 2018.
Au départ de Forbach, une vingtaine de marcheurs ont rallié, samedi à 15 h, Stiring-Wendel, A 16 h, tous les participants de la 11e Nuit de la charité se sont retrouvés sur le parvis de l’église Saint-François pour partager un café-gâteau. Un moment convivial suivi ensuite d’un temps d’échanges, avec le témoignage de bénévoles et bénéficiaires des cinq associations caritatives qui participent à ce rendez-vous. Une messe, puis la traditionnelle soupe aux pois, concoctée par la communauté Emmaüs, ont rassemblé toutes les générations dans un même esprit de solidarité. (extrait et photos RL)
La « NUIT DE LA CHARITE » s'est poursuivie par la messe présidée par le vicaire général Dominique Thiry et la participation des chorales de l’archiprêtré, la soupe de pois cassés avec la Communauté Emmaüs, la nuit d’adoration jusqu’à 8h dimanche matin,
l'office des Laudes à l’église Saint François de Stiring-Wendel et un petit déjeuner.
Les associations participantes de la Nuit de la Charité
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