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Nouvelles
(définition de la Conférence des évêques de France)
Qu’est-ce-que la Toussaint?
Comme son nom l’indique, la Toussaint est la fête de tous les saints. Chaque 1er novembre, l’Église honore ainsi la foule innombrable de ceux et celles qui ont été de vivants et lumineux témoins du Christ.
Si un certain nombre d’entre eux ont été officiellement reconnus, à l’issue d’une procédure dite de « canonisation », et nous sont donnés en modèles, l’Eglise sait bien que beaucoup d’autres ont également vécu dans la fidélité à l' Evangile et au service de tous. C’est bien pourquoi, en ce jour de la Toussaint, les chrétiens célèbrent tous les saints, connus ou inconnus.
Cette fête est donc aussi l’occasion de rappeler que tous les hommes sont appelés à la Sainteté, par des chemins différents, parfois surprenants ou inattendus, mais tous accessibles.
La sainteté n’est pas une voie réservée à une élite : elle concerne tous ceux et celles qui choisissent de mettre leurs pas dans ceux du Christ. Le pape Jean-Paul II nous l’a fait comprendre en béatifiant et canonisant un grand nombre de personnes, parmi lesquelles des figures aussi différentes que le Père Maximilien Kolbe, Edith Stein, Padre Pio ou Mère Térésa…
La vie de ces saints constitue une véritable catéchèse, vivante et proche de nous. Elle nous montre l’actualité de la Bonne nouvelle et la présence agissante de l' Esprit Saint parmi les hommes. Témoins de l’amour de Dieu, ces hommes et ces femmes nous sont proches aussi par leur cheminement – ils ne sont pas devenus saints du jour au lendemain -, par leurs doutes, leurs questionnements… en un mot : leur humanité.
La Toussaint a été longtemps célébrée à proximité des fêtes de Pâques et de la Pentecôte. Ce lien avec ces deux grandes fêtes donne le sens originel de la fête de la Toussaint : goûter déjà à la joie de ceux qui ont mis le Christ au centre de leur vie et vivre dans l'espérance de la Résurection.
Qu’est-ce que la sainteté ?
Le texte des Béatitudes, qui est l’Evangile lu au cours de la messe de la Toussaint, nous dit à sa manière, que la sainteté est accueil de la Parole de Dieu, fidélité et confiance en Lui, bonté, justice, amour, pardon et paix.
Les samedi 22 et dimanche 23 octobre 2016 : Nuit de la charité à Forbach :
la solidarité, ça se cultive !
Quelques photos du déroulement ...
(Ci après article paru dans le RL)
Forbach Saint Rémi
Nuit de la charité : la solidarité, ça se cultive !
La 10e Nuit de la charité aura lieu samedi 22 et dimanche 23 octobre. Organisée par l’archiprêtré de Forbach, avec le soutien d’Emmaüs, l’édition 2016 a pour thème " La solidarité… Ça se cultive ! "
C e sera notre 10e Nuit de la charité », annonce Jean-Luc Ferstler, cheville ouvrière de cet événement solidaire.
Organisée par l’archiprêtré de Forbach, avec le soutien logistique de la communauté Emmaüs, l’édition 2016 aura lieu ce samedi 22 et dimanche 23 octobre.
Comme les années précédentes, la Nuit de la charité se concentrera dans et autour de l’église Saint-Rémi.
« L’idée est toujours la même, faire en sorte que les associations caritatives se rendent visibles et se retrouvent pour partager des choses ensemble, explique le prêtre. On rattache toujours cet événement à une nuit de prières, car c’est de l’action et de l’adoration à la fois. »
Après-midi de partage
Le thème retenu cette fois est "La solidarité, ça se cultive ! ".
« Cette année, on revient à la formule originelle qui est de passer l’après-midi dans la rue au contact de la population », annonce Jean-Luc Ferstler.
De 16 h à 19 h, les associations partageront café et gâteaux avec le public sur le parvis de l’église et devant le monument aux morts.
« À 19 h, il y aura le partage de repas avec la communauté Emmaüs qui préparera la traditionnelle soupe aux pois cassés. »
Les organisateurs ont invité toutes les associations confessionnelles de la ville à s’associer à cette rencontre sur le thème du mieux vivre ensemble. Jean-Luc Ferstler espère qu’elles seront nombreuses à se mobiliser.
Vers un service diocésain de la charité
« Dans l’univers ambiant, on a un besoin de plus en plus vital du social et du caritatif. Ce n’est pas le sécuritaire qui nous sauvera, au contraire », martèle le curé de la communauté de paroisses de Behren, également responsable d’Emmaüs Forbach.
La manifestation sera l’occasion de débattre sur le projet de l’évêque de lancer un service diocésain de la charité.
« Il nous a parlé de cette orientation à prendre lors d’une reunion organisée il y a quinze jours dans le cadre des 110 ans de Caritas en Moselle , remarque Jean-Luc Ferstler. L’espérance, la foi et la charité sont les trois piliers théologiques. La charité était devenue ces dernières années l’affaire des associations alors qu’elle doit être l’affaire de tous et une vertu des communautés des paroisses, qui doivent être des acteurs de la vie citoyenne », insiste le curé. Pour lui, l’Église est comme « le levain dans la pate. Il faut être dans le monde et en même temps avoir une dimension dans la spécificité chrétienne. »
Prendre son destin en main
Cet homme, engagé depuis de nombreuses années dans le social, estime que les citoyens doivent prendre leur destin en main pour faire bouger les choses. « On se rend compte que les indicateurs sociaux sont au rouge depuis des années, mais pour moi la réponse ne sera jamais politique », soutient-il, invitant les Forbachois à profiter de cette Nuit de la charité pour se retrouver, partager et pourquoi pas s’engager. « Au lieu de se plaindre, il faut donner envie de dégager du temps pour aider les autres. »
Pour parler de la solidarité, du bénévolat, de l’engagement associatif, les organisateurs ont invité Alexis Garnier, délégué du Secours Catholique de Moselle et Meuse.
Il animera la conférence proposée le samedi à 20 h avant la nuit de prières qui débutera à 22 h.
« Dimanche matin à 7 h, nous prendrons comme d’habitude le petit-déjeuner dehors sur le parvis de l’église », souligne Jean-Luc Ferstler.
À 10 h sera célébrée à Saint-Rémi la messe solennelle de clôture, présidée par le nouvel archiprêtre Luc Barré, et animée par toutes les chorales du secteur
Ce dimanche 16 octobre 2016, en l’église St Rémi de Kerbach a eu lieu la messe des missions. (avancée d’une semaine du fait de la nuit de la Charité du 22 et 23 octobre ).
Cette année, le thème de cette semaine missionnaire mondiale est : annoncer la Miséricorde.
Ce message est à faire parvenir au cœur et à l’esprit de tous.
Les enfants ont participé par différents symboles à la célébration de cette messe, pour finir par un lâcher de ballons.
La croix des prêtres défunts réhabilitée et bénie.
L’abbé Jean-Luc Ferstler a béni le nouveau monument réalisé en mémoire des prêtres défunts. Photo RL
Cette messe dominicale a été l’occasion de bénir la croix installée à l’emplacement du tombeau des prêtres défunts de la paroisse, disparu lors des travaux de réhabilitation de la place devant l’église.
Le Christ a été récupéré, restauré et installé sur une imposante croix en chêne. L’ensemble de ces travaux a été réalisé par des bénévoles. Une plaque commémorative a été fixée et rappelle que des prêtres officiants dans la paroisse et originaires de la commune ont été inhumés à cet emplacement. À l’issue de la cérémonie, le conseil de fabrique a invité l’ensemble des paroissiens à un vin d’honneur sur le parvis de l’église. (extrait RL)
Les enfants ont préparée l’autel pour la messe des Missions.
Le lâcher de ballons
(extrait du RL) pour plus de photos voir ici
Le prêtre a partagé les moments importants de la liturgie avec les enfants. Photo RL
La communauté de paroisses Notre-Dame des Nations organisait sa messe de rentrée ce dimanche 02 octobre ,en l’église Saint-Rémi de Kerbach. Les enfants ont été accueillis par le prêtre officiant Jean-Luc Ferstler et par les bénévoles de la communauté pour la traditionnelle bénédiction des enfants avec leur cartable.
Cette messe marquait aussi le début de la préparation à la communion pour les enfants âgés de 10 ans. Ils suivront, tout au long de l’année, les cours de catéchisme et participeront aux grands moments de la vie de la communauté, et entre autres à la messe des Missions qui se déroulera le 16 octobre, avec son traditionnel lâcher de ballon.
À l’issue de la cérémonie, les enfants de l’ACE (Action Catholique des Enfants), encadrés par Carmela Tabone, ont vendu des calendriers afin de récolter des fonds pour financer leurs différentes actions.
(Articles du RL du 26-09-16) Pour plus de photos voir ici
Conférence du père Guy Gilbert à Behren le 24-09-16
Soigner les maux de la société par le respect
Le père Guy Gilbert a été accueilli comme une véritable star par plus de 300 personnes, samedi soir, à Behren-lès-Forbach. Avec son franc-parler, il a donné sa vision des grands sujets de société. Aussi croustillant que saisissant.
Plus de 300 personnes l’attendaient à la maison des associations de Behren-lès-Forbach, ce samedi soir. Des jeunes, des vieux, des catholiques, des musulmans, des athées aussi… Avec sa gouaille habituelle, ce style inimitable, son blouson de cuir et sa tignasse, il n’a épargné personne, glissant à l’envi quelques remarques savoureuses. Mais lorsqu’il se raconte sans se la raconter, lorsqu’il aborde les thèmes qui lui sont chers, comme la détresse de la jeunesse, le public se tait, écoute religieusement la belle parole.
Une vocation née il y a 68 ans
Son arrivée sur la scène de la maison des associations est accompagnée d’applaudissements fournis. A peine le père Guy Gilbert a-t-il pris le micro que le show évangélique commence. Scrutant le public, il fustige « les vieilles taupes qui s’endorment à l’église quand le curé est trop long ». Mais il leur donne rendez-vous pour la messe du lendemain, qu’il célèbre à l’église Saint-Blaise (lire par ailleurs). Le ton est donné et tout le monde en prend pour son grade, y compris le maire, Dominique Ferrau, mais l’on accepte avec joie d’être épinglé par celui que l’on surnomme le curé des loubards.
Il livrera quelques anecdotes sur sa vie, sur sa vocation, survenue à l’âge de 13 ans. Sur ces années où il arpentait les rues à moto, avec d’autres prêtres, pour aller à la rencontre des jeunes. Sur son célèbre blouson noir. Il évoque aussi son service militaire, en tant que séminariste, en pleine guerre d’Algérie. Il parle des massacres, des tortures, et l’on sent les blessures profondes qui ont parallèlement construit sa foi, sa vocation. A 81 ans, elle ne l’a pas quitté.
La jeunesse « plus violente »
Le père Guy Gilbert consacre surtout sa vie aux jeunes et c’est le thème qui le touche le plus. Il fait un constat simple. « La jeunesse a changé. Elle est révoltée, angoissée, et beaucoup plus violente qu’avant. » Et face à cette violence, il oppose l’écoute, le dialogue, mais s’il faut, « une bonne droite "évangélique" ».
Outre la société, « égoïste, individualiste », les familles ont évidemment leur part, importante, de responsabilité. « Il faut éduquer les jeunes, c’est essentiel, leur apprendre le respect. Les enfants ont besoin de présence, de temps. Jamais on ne rattrapera le temps que l’on n’a pas passé avec ses enfants. » Il évoque « le divorce, qui rend les jeunes "vicieux" » lorsque les parents se déchirent. « On ne peut faire de bon divorce que si les deux parents se respectent. » Le respect, toujours le respect, forcément mutuel et non « à sens unique ». Une valeur fondamentale pour Guy Gilbert, quel que soit le domaine, le sujet.
Son arche de Noé
Guy Gilbert, depuis des décennies, s’occupe de cette jeunesse désœuvrée, perdue, par le biais notamment de son association, la bergerie de Faucon. Un reportage très émouvant sur la naissance de ce havre de paix niché dans les Alpes-de-Haute-Provence, a été projeté. « 250 jeunes ont bâti cette maison sur des ruines », "leur" maison. Une arche de Noé où le père Guy Gilbert accueille "ses" enfants, mais aussi des animaux, pour pratiquer la zoothérapie. 130 espèces, des chiens aux lamas, du sanglier au buffle, en passant par les chameaux, Obama et Ben Laden, vivent aux côtés des jeunes. Chacun essayant d’apprivoiser l’autre. Depuis des années, le père Guy Gilbert laisse aux autres les sermons. Lui, son truc c’est l’action. Et sa "Trinité" à lui, c’est l’amour, le respect et le partage.
Le curé des loubards a livré sa vision de la société, de la religion, de la jeunesse surtout. Sans concession, il parle avec le coeur, quitte à choquer.
« Une Société malade. »
« Nous vivons dans une société qui est malade, angoissée… » Et pour le père Guy Gilbert, point de salut venant « des hurluberlus de droite ou de gauche ». Il en a « assez d’être pris dans ces "camps" » et se dit « contre les primaires ». Droit, gauche, « Macron au milieu, on ne sait pas… Marine Le Pen, on sait ! Ça, c’est à éliminer ! »
« On dit parfois que la famille tue le jeune, mais c’est surtout la société qui tue le jeune en ne lui donnant aucun avenir. » D’où la révolte, et parfois de mauvais choix. « Alors on met les jeunes en prison… L’école de la délinquance, l’université de la violence… » Tout sauf une solution.
« Ma religion, c’est l’amour. »
De foi, de religion, il en fut rapidement question. « Toutes les religions veulent la paix », lance le père Guy Gilbert. Il parle des attentats, l’attaque de Nice, l’assassinat du père Jacques Hamel… « Il faut que les Musulmans se lèvent et disent non ! »
Il cite un prophète soufi : « Ma religion, c’est l’amour. C’est la plus belle des formules. » Il ajoute que pour lui, « le respect est la vraie religion ».
Parlant des chrétiens, Guy Gilbert évoque un concept qui lui paraît totalement incompréhensible : croyant, non-pratiquant. « Qu’est-ce que c’est que ce bordel dans l’Eglise ? Une religion, ça se pratique. Et la foi est comme une langue étrangère. Lorsqu’on ne la pratique plus, on la perd. »
Autre sujet qui lui tient à cœur, le célibat. « C’est très bien quand on l’accepte, c’est un don total aux autres, mais si on l’impose, c’est une saloperie ! Il faut permettre le mariage des prêtres. »
Et également former des femmes pour être diacres. « Les cardinaux ont des robes rouges ? Les cardinaux femmes n’auront qu’à porter des pantalons rouges. »
Avec le père Guy Gilbert, les formules décalées, irrévérencieuses, servent toujours le propos, nettement plus sérieux.
Messe du dimanche 25-09-16 en l’église saint-blaise de behren-lès-forbach
« Toutes les religions parlent d’amour et de paix »
Le prêtre Guy Gilbert a officié la messe eucharistique de ce dimanche matin en l’église Saint-Blaise de Behren-lès-Forbach aux côtés des abbés Clarence Wecker et Jean-Luc Ferstler. Il était convié par la communauté de paroisses Notre-Dame des Nations. Dans une église comble, le curé des loubards a appelé les paroissiens à applaudir leurs prêtres. « Ils bossent pour votre service ».
Tout au long de la messe, Guy Gilbert a rappelé l’importance de « dire non aux enfants. Ceux qui n’obéissent pas à leurs parents ». Il a expliqué aux adolescents « qu’on aime avec le cœur d’abord ». Puis, il a demandé aux couples mariés depuis plus de 50 ans présents de lever la main. « Je plains la femme. Mais je plains doublement l’homme. C’est dur d’aimer. Mais s’aimer 50 ans, c’est magnifique ».
Augmenter la foi
Lors de son homélie, Guy Gilbert a demandé aux paroissiens de venir nombreux les dimanches et être tous ensemble « pour encore augmenter la foi ». Il s’est livré en évoquant son enfance : « J’ai vécu dans une famille pauvre de 15 enfants. Quand on laissait quelque chose du repas de midi et bien, ma mère le mettait de côté pour le soir. J’ai mangé tant de choux de Bruxelles et rutabaga que quand on m’invite aujourd’hui et qu’on me propose ces légumes, je fais la gueule ».
Mais c’est surtout ce message que Guy Gilbert a souhaité passer : « Toutes les religions parlent d’amour et de paix. Nous avons des fois différentes, c’est vrai, mais elles ne doivent pas s’affronter ».
Nous aurons l'honneur d'accueillir le Père Guy Gilbert, « le curé des loubards », dans notre communauté de paroisses les 24 et 25 septembre.
Une conférence ouverte à tous publics aura lieu : Samedi 24 septembre à 20h30 à la salle "Maison Des Associations" à Behren les Forbach , sur le thème : "Education, culture, société : comment se positionner ? ".
Le Père Guy Gilbert présidera également la messe du dimanche 25 septembre à 10h00 à l'église Saint Blaise de Behren-village.
Nous comptons sur votre présence pour l'accueillir.
Contrairement à la grille des messes, la messe du samedi 24 sept. aura lieu à Bousbach à 18h30 et celle du dimanche 25 sept. à 10h00 sera célébrée par le père Guy Gilbert à Behren/St Blaise. ( modification reprise sur la feuille paroissiale )
(ci-dessous extrait du RL du 4/09/16)
Conférence avec Guy Gilbert le 24 septembre à Behren
Guy Gilbert, aussi appelé le prêtre des Loubards, donnera une conférence le 24 septembre à la Maison des associations de Behren. Photo archives RL
La communauté de paroisses Notre Dame des Nations de Behren-Bousbach-Kerbach annonce la venue de l’abbé Guy Gilbert. Egalement appelé "Le prêtre des loubards", cet homme d’église hors du commun sera à Behren-lès-Forbach le samedi 24 septembre, à 20h30, à la Maison des Associations (MDA), pour une conférence sur le thème de l’éducation, de la culture, de la société. Comment se positionner ? sera une des questions débattues. Guy Gilbert célébrera aussi la messe du dimanche 25 septembre avec l’abbé Jean-Luc Ferstler et l’abbé Clarence Wecker, à 10 h, en l’église Saint-Blaise à Behren-village
Chroniqueur au journal La Croix et à Radio Notre-Dame, Guy Gilbert s’est fait connaître dès les années 80 en étant à l’écoute des loubards parisiens. Il en a tiré plusieurs livres dont Un Prêtre chez les loubards en 1979 ou La Rue est mon église en 1980.
ABBE JEAN-CHRISTOPHE MEYER
VICAIRE GENERAL
Metz, le 1 er septembre 2016
La Caritas Moselle va fêter ses 110 ans le 30 septembre prochain.
Monseigneur Lagleize souhaite que les communautés de paroisses, les EAP, les diacres, les ALP, les communautés religieuses, les mouvements caritatifs et les services diocésains soient associés à ce temps. Il désire à cette occasion partager au diocèse sa vision de l’avenir de Caritas Moselle.
Aussi, vous êtes cordialement invité(e) à participer à ce temps festif.
Vous trouverez donc ci-joint, un tract d’invitation vous donnant toutes les informations.
Attention, une réponse est à envoyer, soit par courrier, soit par mail avant le 23 septembre prochain.
Dans l’attente de votre inscription,
Fraternellement.
Abbé Jean-Christophe MEYER
Vicaire général
Sous l'égide, entr' autres, de la pastorale des jeunes de l’archiprêtré de Forbach et de l'abbé Jean-Luc,
(extraits RL)
54 jeunes dansent contre l’exclusion en Roumanie
Du 17 au 31 juillet, 54 jeunes danseurs de 13 nationalités différentes se sont retrouvés à Targu Jiu pour construire un spectacle sur le thème des Roms et de l’exclusion Photo DR.
Piloté par l’association Parrainage-Jumelage Forbach Targu Jiu, le Dekanat de Sarrebruck du diocèse de Trêves et la pastorale des jeunes de l’archiprêtré de Forbach, le projet international de danse moderne a tenu toutes ses promesses.
54 jeunes danseurs de 13 nationalités différentes venant d’Allemagne, Bosnie-Herzégovine, France, Roumanie se sont retrouvés à Targu Jiu du 17 au 31 juillet pour s’adonner à leur passion favorite. Et construire une pièce sur le thème " Les Sans Voix- Sinti et roms- la plus grande minorité d’Europe. "
Sous la houlette de la chorégraphe Daniela Rodriguez, ils ont donné vie à cette thématique sensible dans tous les pays d’Europe.
À force de répétitions, pendant plus de 8 heures par jour, ils ont présenté un spectacle exceptionnel le 29 juillet à l’espace culturel dit Scoala Popularăde ArtăTârgu-Jiu.
L’ensemble de l’équipe comptait plus de 70 personnes pour assurer l’intendance et le bien-être de cette jeunesse passionnée.
Au cours de ces deux semaines, les jeunes ont eu l’occasion de se familiariser avec la culture des Roms au cours d’une soirée de partage et de danses traditionnelles, autour d’un repas et de témoignages du temps de la dernière guerre mondiale et du sort réservé à leur communauté.
Cette démarche de partage et d’inclusion, telle qu’elle fut vécue par ces 54 jeunes de 12 à 20 ans, « est la plus belle des réponses à toute parole d’exclusion », assurent les organisateurs.
Un triptyque entamé en 2013 à Spicheren
Ce projet constitue le troisième volet d’un triptyque entamé en 2013, à Spicheren, sur le thème de la violence, poursuivi en 2014 à Sarajevo sur le lieu du déclenchement de la première guerre mondiale et conclut cette année par cette thématique des conséquences des attitudes et pensées excluantes envers des individus et des peuples.
Un seul leitmotiv a soutenu ces trois réalisations. Par la culture, et dans ce cas par la danse, il s’agit d’éveiller les consciences de la jeunesse à la construction d’un monde qui inclut tout être vivant « à la différence des paroles et actions qui excluent et détruisent. »
Toute l’équipe espère pouvoir se retrouver l’année prochaine dans le cadre du festival " Perspectives " afin de pouvoir partager son enthousiasme.
Vu la qualité de la réalisation de ce mois de juillet en Roumanie, le président de l’association Parrainage-Jumelage, Jean-Luc Ferstler, espère pouvoir la présenter en France et en Allemagne.
Action en cours au Jean-Moulin
« Je me réjouis de pouvoir dès maintenant souligner une action en cours entre les élèves du lycée Jean-Moulin de Forbach et du collège national Ecaterina-Teodoroiu de Targu Jiu sur l’Europe de demain à par t ir de l’expérience de l’histoire », annonce Jean-Luc Ferstler.
« Alors que la tendance est à l’euroscepticisme, ce type d’événements et de richesses partagées ravive cette vision d’une Europe de rassemblement des peuples, grâce à la richesse de leurs expériences liées à l’histoire particulière de chacun. »
Nominations dans le diocèse de Metz
Publié le 01 juillet 2016
A l’occasion de la parution du numéro de Juillet-Août 2016 d’Eglise de Metz, le bulletin officiel du diocèse, voici la liste des nominations officielles promulguées par Mgr Jean-Christophe Lagleize, évêque de Metz, à compter du 1er septembre 2016. D’autres nominations paraîtront ultérieurement.
NOMINATIONS DIOCÉSAINES AU 1er SEPTEMBRE 2016
Seuls les offices canoniques sont mentionnés ci-dessous.
( extraits - liste entière ici)
ZONE DE SAINT-NABOR
Archiprêtré de Saint-Avold
M. l’abbé Christophe DIBO est nommé curé de la Communauté de paroisses Notre-Dame du Vahl, pour un mandat de six ans.
M. l’abbé David CHAUDEY ajoute à sa charge celle de curé de la Communauté de paroisses Saint-Paul des Sources, constituée dorénavant des seules paroisses de Valmont et de Folschviller, pour un mandat d’un an, ad experimentum.
M. l’abbé Olivier RIBOULOT ajoute à ses charges celle de curé de la paroisse de Macheren et du quartier Le Wenheck, rattachés à la Communauté de paroisses Saint-Nabor de Saint-Avold, pour un mandat d’un an, ad experimentum.
M. l’abbé Piotr SZUFLITA est nommé curé des Communautés de paroisses Notre-Dame de la Houve et Notre-Dame de la Vallée de la Bisten, pour un mandat de six ans.
Archiprêtré de Forbach
M. l’abbé Sébastien PETITJEAN est nommé curé de la Communauté de paroisses du Cœur Immaculé des Hauteurs de Spicheren, pour un mandat d’un an.
Archiprêtré de La Merle
M. l’abbé Gérard ZAWADZKI est nommé curé de la Communauté de paroisses Sainte-Hélène du Hérapel, pour un mandat de six ans.
NOUVEAUX RETRAITÉS (extrait)
M. l’abbé René KRAUZEWICZ se retire à Saint-Avold ;
M. l’abbé Antoine STREIFF se retire à Lixing-lès-Saint-Avold ;
Mme Jacqueline GIORDANO, ALP.
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