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 Nouvelles
ssociation Emmaüs Forbach association@emmaus-forbach.fr
Fondateur Abbé Pierre http://www.emmaus-forbach.fr
34 rue du rempart N° Siret 39266454600018
57600 Forbach N° APE: 8899B
Tél: 03 87 85 31 25
Fax: 03 87 87 34 49
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L’association Emmaüs Forbach vous invite à une conférence- débat
« Être solidaires, le cœur d'Emmaüs..... »
qui sera animée par Jean-Luc Ferstler, directeur d’Emmaüs-Forbach le
Mardi 18 mars à 20h centre des congrès du Burghof à Forbach
« On se demande souvent quel monde allons-nous laisser à nos enfants, alors qu'il faudrait aussi se demander à quels enfants allons-nous laisser le monde ? » (Jaime Semprun)
C’est en effet de l’humain dont il sera question que ce soit dans l’économie sociale et solidaire ou dans la lutte contre la traite des êtres humains.
Différents conférenciers évoqueront les solidarités portées par le mouvement Emmaüs notamment dans le cadre du projet européen pour une société plus humaine :
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Jean Rousseau, Président d'Emmaüs International,
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Julio de la Granja, Président d' Emmaüs Europe,
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Alain Capmas, Trésorier d'Emmaüs Europe,
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Pierre Duponchel, Président Directeur Général du Relais,
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Roger Maire, Président d'Emmaüs Metz.
Un repas solidaire vous permettra de rencontrer les intervenants d'Emmaüs dès 18 h 30 dans la salle Helsinki du Burghof...
Afin de nous permettre de vous accueillir à ce repas dans les meilleurs conditions, merci de bien vouloir nous faire retour du coupon ci-dessous avant le 14 mars 2014.
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Mr – Mme :...........................................................................................................................................
participera au repas : □ oui – □ non
Nb de repas :...................................................................................................................................
Programme des rencontres du mois de mars 2014 au foyer Notre Dame de St-Avold
Compte rendu de la visite de Mgr Lagleize à Bousbach le 18 février 2014 : extrait du RL du 19/02 et photos diverses
Hier, l’évêque de Metz a passé l’après-midi à Bousbach pour y animer un café théologique sur le thème de la doctrine sociale de l’Eglise. Une centaine de personnes sont venues débattre avec lui de questions de société
La partie gâteau du café théologique
La partie échange théologique
La messe concélébrée par Mgr Lagleize , jean-Luc et Clarence
Reprendre quelques forces
Et la conférence de Monseigneur
Première visite de l’évêque de Metz dans l’archiprêtré de Forbach hier. Mgr Jean-Christophe Lagleize a passé l’après-midi à Bousbach pour y animer un café théologique autour de la doctrine sociale de l’Église. « Je suis venu à l’invitation du père Jean-Luc Ferstler », confie l’évêque, ravi de débattre, en toute convivialité, avec une centaine de chrétiens réunis à l’espace loisirs du village. Autour d’un café-gateaux, les participants ont échangé entre eux sur des thèmes de société variés : la famille, la consommation, le chômage, la politique, les migrants, la propriété… « Il faut cultiver ce qui est débat et échanges de points de vue », défend Mgr Jean-Christophe Lagleize, curieux de connaître les réflexions de tous ces paroissiens sur des questions sociales concrètes et actuelles.
« Les chrétiens sont des citoyens »
« Les chrétiens sont des citoyens, nous avons donc à prendre notre part au mieux vivre ensemble », affirme l’évêque, soucieux d’aider les gens « à se poser les bonnes questions et à favoriser l’échange dans le respect plutôt qu’à leur dire ce qu’il faut faire. »
Passant de table en table, Mgr Lagleize a récolté les avis des uns et des autres. « Je ne sais pas encore quel sera mon message, j’attends de voir ce qu’on a à me dire », confie-t-il, content de ce rendez-vous lui permettant de rejoindre les gens dans leur quotidien.
« Une telle rencontre favorise le grandir ensemble, malheureusement certains débats actuels de nos responsables ne nous donnent pas l’exemple du fair-play », regrette l’évêque, évoquant avec envie le modèle allemand du catholicisme social.
« Aider les gens dans leur vécu »
« Le but de ce café théologique est d’aider les gens à réfléchir, à partager par rapport aux décisions qu’ils ont à prendre dans leur vécu d’aujourd’hui », surenchérit l’abbé Jean-Luc Ferstler, à l’initiative de cette rencontre, préparée au sein de sa communauté de paroisses. Avec en toile de fond, les élections qui approchent, l’idée est de faire découvrir à un large public la doctrine sociale de l’Eglise.
« On a oublié bien souvent qu’il y a une doctrine sociale qui a traversé les siècles et qui a beaucoup influencé les décisions qui ont été prises dans l’histoire, notamment avec le dernier pape qui met l’homme au cœur de l’Eglise , explique le curé de Behren. Si les gens s’intéressent aux différents textes de l’Eglise, ils doivent savoir quoi faire », ajoute le prêtre, convaincu de la nécessité d’arrêter de cloisonner les débats. « Au contraire, ouvrons-les pour qu’on ne se replie pas sur nous, sur nos peurs. Ouvrons-nous aux autres », prône l’abbé Ferstler, estimant que l’Eglise peut mieux se faire entendre quand elle parle de questions sociales.
Le café théologique s’est terminé par une messe, célébrée par l’évêque en l’église de Bousbach. Avec une homélie axée sur le « comment vivre ensemble en harmonie. » Aujourd’hui, Mgr Lagleize passera la journée à Forbach, où il viendra visiter la communauté Emmaüs.
Pour faire connaître
la doctrine sociale de l’Eglise, le livre Notre bien commun (éditions de l’Atelier), accompagné d’un DVD sort le 21 février en librairie.
Des photos suivront ...
 Un Café théologique avec Monseigneur Lagleize à Bousbach (publié sur le site du diocèse de Metz http://metz-catholique.fr )
Le 18 février 2014, Monseigneur Lagleize se rendra à Bousbach, Espace Loisirs, pour participer à un café théologique sur la doctrine sociale de l’Eglise, pour célébrer avec la communauté de paroisses Notre-Dame des Nations et pour échanger avec tous. Interview avec l’abbé Jean-Luc Ferstler, curé de cette communauté.
Pourquoi organiser un « café théologique » ?
Cela fait trois ans qu’il y a un café théologique dans la communauté de paroisses Notre-Dame des Nations. L’idée est venue dans le cadre de l’Equipe d’Animation Pastorale (EAP), d’une discussion que nous avions entre nous. Il y en a eu deux, le premier en 2012 sur les cinquante dans du concile Vatican II avec Monseigneur Bernard Franck. Le deuxième, en 2013, portait sur la démarche Diaconia. A chaque fois, les gens ont participé au café théologique et l’initiative a bien pris.
Cette année, avec l’EAP, nous avons réfléchi ensemble par rapport aux échéances, notamment sur les élections. Les gens vont être appelés cette année à choisir des représentants, d’où l’idée de proposer un café théologique sur la doctrine sociale de l’Eglise, où l’invité est Monseigneur Lagleize. C’est la première fois que le nouvel évêque vient à Bousbach. Il pourra ainsi faire connaissance avec la communauté et découvrir ce que nous vivons.
Comment se passe le « café théologique » ?
C’est vraiment un rencontre conviviale autour d’un café-gâteaux. Ensuite, l’eucharistie sera célébrée. Le soir, il y aura une synthèse sur la doctrine sociale de l’Eglise, où il sera question aussi bien du monde et de l’Eglise que du monde de l’Eglise.
L’essentiel est que les gens se retrouvent, parlent ensemble autour d’un café sur les sujets de la vie. Il est important d’avoir des lieux pour dire ce que l’on vit, ce que l’on ressent et ce que l’on est. Il n’y a pas besoin d’avoir fait des études de théologie pour cela et l’expression « café théologique » est un bien grand mot, pour une réalité simple et accessible à tous.
Que voulez-vous faire découvrir aux participants ?
Il est important qu’ils puissent confronter ce qu’ils vivent, ce qui se dit dans l’air ambiant avec des textes qui ont traversé toute l’histoire de l’Eglise.
Ils pourront voir s’ils sont en adéquation ou non avec ce fil rouge qui traverse toute l’Eglise.
Par exemple : l’accueil de l’étranger. C’est du vécu dans une communauté de paroisses comme Notre-Dame des Nations. Il y a la part de vécu avec les différentes générations qui sont venues, la part d’émotionnel et la part de médiatique. Dans les échanges et avec l’ensemble de l’Eglise, soyons des éveilleurs de consciences et n’en restons pas à la pression médiatique, qui détourne de la réalité de la vie et qui entretient des idées malsaines.
A travers les âges et les siècles, l’Eglise nous a donné une ligne : l’accueil de la veuve, de l’étranger, de l’orphelin, etc. et nous demande d’êtres proches du semblable sans discrimination. Y sommes-nous fidèles ? Cela ne veut pas dire être naïfs. Il y a des réalités communes à tous les hommes… Si nous sommes chrétiens, si nous célébrons, nous célébrons la vie, sans tomber dans le pessimisme et la dépression. Un chrétien est au service de la vie.
Plus d’infos :
> A 16h, le mardi 18 février 2014, à la Salle des fêtes de Bousbach, café théologique pour réfléchir et partager sur le thème La Doctrine Sociale de l’Eglise, avec la participation de Monseigneur Jean-Christophe Lagleize évêque de Metz. A 18h15, messe pour la communauté de paroisses. A 20h, dans la salle des fêtes, conférence de Monseigneur Lagleize sur la doctrine sociale de l’Eglise.
> Site de la communauté de paroisses Notre-Dame des Nations
Dans le cadre des rencontres interreligieuses entre juifs, musulmans soufis, protestants et catholiques
Ce dimanche 9 février 2014, en l'église St Blaise de Behren, le saint patron, St Blaise de Sébaste en Arménie, saint auxiliaire, médecin et évêque martyrisé a été honoré lors de la messe solennelle concélébrée par les abbés Jean-Luc et Clarence en présence d'une nombreuse assistance avec la participation active de la chorale et de l'équipe de l'E.A.P.
La célébration s'est terminée par la prière de St Blaise , la bénédiction spéciale et la distribution des pains bénis pour rappeler l'importance du Partage , sens de la vie chrétienne.
Quelques photos de la messe.
Saint Blaise chez les siens
sermon de l'abbé Joseph Calmés à la Saint Blaise en février 1980
On savait que Saint Blaise était un évêque arménien, que sa bonté pour les animaux et les gens avait rendu saint par la grâce du martyr enduré à cause de sa Foi, source de son amour.
On savait que le saint était invoqué pour bénir la nourriture des hommes et de leurs bêtes. On savait qu'il était invoqué par la corporation des cardeurs de laine et pour guérir les maux de gorge. Il aurait guéri un jour un enfant qui était menacé d'un étranglement à cause d'une arête de poisson. Mais, on ne savait toujours pas encore comment sa réputation de sainteté bénéfique était venue jusqu'à Behren.
Monsieur l'abbé Joseph Calmés, actuellement à la retraite à Folkling devait nous l'apprendre le premier dimanche de février 1980. Ce jour-là; il nous enchanta par un récit historique et passionnant sur l'histoire de notre village inséparable du culte que nos ancêtres ont voué à Saint Blaise, l'un des 14 Saints Auxiliaires -Nothelfer- Ce jour-là, l'abbé prit place à l'ambon, petite chaire du côté droit de l'autel principal, le côté des dames. Il parla d'abondance, de cœur et de l'esprit. Toute l'assemblée était subjuguée. Car il l'aime sa Moselle natale, l'abbé, ancien rédacteur du Metzerkatholisches Volksbaltt !
C'est ainsi que nous avons appris et retenu qu'en 1635, la guerre des Suédois, appelée encore guerre de Trente ans, avait pillé et incendié la Chapelle Sainte Croix et tous les villages du Gau Mosellan et Alsacien. Le Pays n'était plus que ruine et désolation. Notre petit village situé à la hauteur de l'actuelle rue des Roses disparut et ses habitants avec. Il fallut rebâtir et repeupler. Il fallut faire appel aux émigrés. Déjà en ces temps la !...
Ceux-ci vinrent de la lointaine Bohême pour redonner vie à nos industries du verre et recréer d'autres verreries : Vieille-Verrerie, Verrerie-Sophie et autres lieux... Ces souffleurs de verre, ces verriers qu'étaient: les gens de la Bohême apportèrent dans leurs maigres baluchons leurs Saints Protecteurs, dont le plus familier pour eux : Saint Blaise.
Sur leur longue route qui va de l'Europe Centrale à la Westmark, ils firent parfois souche, car leurs déplacements par familles entières duraient longtemps, ils construisaient de toutes petites chapelles pour faire leurs dévotions à Saint Blaise. Une carte géographique retraçant leur itinéraire à travers la Forêt Noire entre autre, ferait découvrir des St Blaise sur un tracé assez précis.
Et c'est ainsi que Behren annexe de Kerbach, elle-même reconstruite au milieu du village, après cette horrible guerre devint le pèlerinage de Saint Blaise. On y venait de toute la région le 3 février, après la chandeleur. On priait avec ferveur. Il y avait tellement de monde que les paroissiens avaient "leur" messe à 7h pour laisser l'église à leurs invités et les recevoir dignement au repas paysan, copieux et joyeux. Parfois une soirée théâtrale clôturait la journée dont on parlait jusqu'à la saint Blaise de l'année d'après.
La tradition s'est continuée jusqu'à ce jour,quand en 1975 survint l'évènement attendu depuis 1910 : Behren devint une Paroisse dont Saint Blaise serait le Saint Protecteur. C'est de cette époque que date l'impression des cartes postales de St B1aise reproduisant le vitrail du chœur, l'église vue de la mairie, le tableau de la chapelle St Blaise et cette année "Saint Blaise sous la neige". Le théâtre a été remplacé par des concerts spirituels. C'est aussi le jour du sermon mémorable qu'à été posée la plaque commémorative en souvenir de "Dominique", notre ancien curé qui fit tant pour la reconstruction de l'église. Ce geste fut rendu possible grâce au testament d'une "pauvre" de notre village. Il ne faudra jamais l'oublier.
Ce samedi 1er février, sous l'église St jean Bosco, après-midi organisée par la pastorale des jeunes de l'archiprêtré sur le thème de « l'appel de l'abbé Pierre 60 ans après / Comment être témoin à la suite de l'abbé Pierre».
Accueil des jeunes à 16h et diverses activités : projection d'un film sur l'abbé Pierre, échange sur son appel, 60 ans après , carrefour, explication de la chandeleur, musique, très belle messe avec le chant Zaz par Martine et Jean Claude et de très beaux chants des jeunes. Et après la messe : crèpes-party.
(Extrait RL)
L’appel de l’abbé Pierre relancé hier.
Les compagnons d’Emmaüs continuent le combat
Hier, l’appel lancé le 1 er février 1954 par l’abbé Pierre a été renouvelé par les compagnons d’Emmaüs.
« Le combat doit continuer », lance Jean-Luc Ferstler. Hier, à 11 h, sur le parvis de l’hôtel de ville, 200 personnes se sont réunies à l’initiative de la communauté Emmaüs. Une manifestation pour commémorer le 60e anniversaire de l’appel de l‘abbé Pierre. « Cette mobilisation date de 1954 et depuis on ne peut que constater que beaucoup de difficultés demeurent dans notre société », souligne Jean-Claude Dunkhorst.
Pour marquer l’événement et en solidarité, active et symbolique, les militants d’hier étaient tous habillés de noir. Et se sont placés sous la pluie à l’heure de la lecture des messages, en référence aux sans-abri et à la précarité qui touche de nombreux citoyens.
« Tout le monde se souvient de cet hiver 1954, et de cet appel lancé à la radio pour mettre à l’abri du froid glacial les personnes à la rue », rappellent les responsables d’Emmaüs Forbach. Sous la tonnelle dressée place du marché, tout le monde était invité à prendre la parole.
Le nouveau manifeste a aussi été lu. « Nous continuons à partager avec l’abbé son indignation face aux injustices et à la misère, qui n’ont hélas pas disparu. »
Ci-après quelques photos de la manifestation du 1er février 2014 et le texte intégral de l'appel de l'Abbé Pierre, prononcé le 1er février 1954 sur les antennes de Radio-Luxembourg:
extrait RL du 24/01/14
Le 1er février 2014 : les 60 ans de l’appel de l’abbé Pierre , Emmaüs se mobilise pour les «Sans Voies»
Emmaüs veut rappeler au plan national, et aussi à Forbach le fameux appel de l’abbé Pierre, lancé le 1er février 1954. Pour cela une grande manifestation organisée à l’occasion des 60 ans de cet événement. « Tout le monde se souvient de cet hiver 1954, et de cet appel lancé à la radio pour mettre à l’abri du froid glacial les personnes à la rue. Cela déclencha un mouvement de générosité sans pareil qu’on a appelé l’insurrection de la bonté »
Un nouvel appel lancé devant la mairie
Le samedi 1er février prochain, le mouvement Emmaüs France, porté par ses principes « aider à aider » lancera un nouvel appel, qui se déroulera dans toutes les villes qui accueillent une communauté. A Forbach, les compagnons, amis, bénévoles, salariés d’Emmaüs se rassembleront à 10 h 30 sur le parvis de l’hôtel de ville. « Nous continuons à partager avec l’abbé son indignation face aux injustices et à la misère, qui n’ont hélas pas disparu, souligne Jean-Luc Ferstler. Tous ceux qui sont sensibles à cette cause sont invités à nous rejoindre. »
A 11 h, une minute de silence sera faite avant de lire le texte du nouvel appel, écrit sur le thème « Et si, depuis 60 ans, nous avions raison ? »
« On demande à tous les participants de venir en noir , invite Jean-Luc Ferstler. Un symbole fort, car 60 ans plus tard, le combat n’est pas fini. Il y a toujours plus de gens à la rue et dans la précarité. » Pour cette manifestation, Emmaüs a d’ailleurs choisi comme slogan : "Mobilisons-nous pour les Sans Voies ! " « Ceux que l’on appelle les sans voies, ce sont les sans toit, sans travail, sans droits, sans avenir, sans ressources, sans soins, sans papiers, et ils sont de plus en plus nombreux aujourd’hui », commente Jean-Claude Dunkhorst, président d’Emmaüs Forbach, en espérant une grande mobilisation le 1er février prochain. « Il faut essayer de ne pas perdre notre part d’humanité, notre empathie », dit-il, mentionnant l’histoire d’Emmaüs, « un mouvement qui dure depuis si longtemps, où les gens dans la précarité peuvent se reconstruire, trouver ou retrouver leur place dans la société grâce aux activités mises en place dans les communautés et à l’économie solidaire. »
Une place des Sans Voies inaugurée
A 11 30, tout le monde se retrouvera place Aristide-Briand pour inaugurer « la place des Sans Voies ». Une inauguration symbolique, suivie d’un lâcher de ballons.
A 12 h, cette manifestation de solidarité se clôturera par un moment d’échange autour d’une soupe servie par les compagnons.
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