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Nouvelles
Communiqué des évêques de l'Est de la France
à l'occasion du projet de loi sur "le mariage pour tous"
Le Conseil des ministres va se saisir du projet de loi visant à
ouvrir le mariage aux couples de même sexe. L'adoption de ce projet transformerait une
institution structurant la société depuis des siècles; ce qui ne peut laisser indifférent aucun
citoyen.
Des membres d'autres confessions chrétiennes, d'autres religions mais aussi des groupes
de réflexion et des personnalités compétentes s'interrogent.
Est-il possible de prendre une telle décision sans qu'un débat n'ait lieu à l'échelon
national ?
Les arguments qui veulent légitimer le mariage des couples de même sexe, reposent en
général sur deux points : l'amour et la non-discrimination.
Concernant la question de l'amour, nous comprenons que des personnes du même sexe
puissent s'aimer. Mais alors faut-il institutionnaliser une forme particulière d’amour dans la
société ? Si le mariage a été institué, c’est pour garantir la stabilité sociale et la filiation.
Concernant le second point, celui de la non-discrimination, il faut rappeler que le
mariage a toujours été compris comme l'union d'un homme et d'une femme (cf. article 12 de
la Convention européenne des droits de l'homme). Permettre le mariage de personnes du
même sexe, c'est donc changer la définition du mariage lui-même.
Une des conséquences concrètes, déjà prévue dans le projet de loi, que nous ne
mesurons peut-être pas encore, c'est le remplacement de la notion de "père" et de "mère" dans
l'état civil au profit des notions artificielles et finalement discriminatoires de "parent 1" et de
"parent 2".
Dans une société déjà déstabilisée, en quête de repères, avons-nous besoin de porter
atteinte à la famille, cellule structurante de la société, et au rôle fondamental du père et de la
mère ? Le grand oublié de ce projet n'est-il pas l'enfant ? En voulant donner le "droit à
l'enfant" à certains, n'en vient-on pas à nier les droits de l'enfant lui-même ?
Nous renouvelons notre appel aux responsables politiques du pays, afin qu'un large
débat ouvert et serein puisse avoir lieu sur ce sujet fondamental. Nous encourageons toutes les
initiatives constructives de nos concitoyens en ce sens. Nous appelons les membres de nos
communautés à apporter leur contribution à ce débat.
Besançon, le 17 octobre 2012
Mgr André Lacrampe, archevêque de Besançon
Mgr Jean-Pierre Grallet, archevêque de Strasbourg
Mgr Vincent Jordy, évêque de Saint-Claude
Mgr Jean-Paul Mathieu, évêque de Saint-Dié
Mgr François Maupu, évêque de Verdun
Mgr Jean-Louis Papin, évêque de Nancy
Mgr Pierre Raffin, évêque de Metz
Mgr Claude Schockert, évêque de Belfort Montbéliard
Mgr Vincent Dollmann, évêque auxiliaire de Strasbourg
Mgr Christian Kratz, évêque auxiliaire de Strasbourg
Le 1er novembre, l’Eglise fête tous les saints, connus et inconnus et nous invite à les rejoindre. Le 2 novembre, elle prie pour tous les défunts, pour qu'ils aient la joie de rencontrer Dieu en plénitude.
Le 1er novembre, fête de tous les saints, d’une vocation à laquelle tout baptisé est appelé
Chaque baptisé est appelé à la sainteté ainsi que l’a affirmé le concile Vatican II (qui a été ouvert il y a 50 ans) dans la constitution Lumen Gentium, où le chapitre 5 traite de la vocation universelle à la sainteté dans l’Eglise. Tous les baptisés, prêtres, laïcs, couples, célibataires, veufs et veuves, jeunes ou personnes âgées, etc., tous sont appelés à la sainteté. C’est le chemin ordinaire de tout chrétien, la vocation de tout chrétien.
La sainteté réside dans la perfection de l’amour pour Dieu et le prochain, un amour capable de transfigurer l’existence et le monde.
Le 2 novembre, jour des défunts
Le 2 novembre est le jour de la commémoration des défunts. La prière pour les défunts est un témoignage de l’affection que nous leur portons. Il y a certes d’autres signes d’affection comme les fleurs qui sont déposées dans les cimetières et qui manifestent l’attachement des vivants à ceux qui les ont quittés. Toutefois la prière à l’intention de ceux dont nous ne pouvons qu’espérer qu’ils ont découvert Dieu en plénitude, revêt une importance particulière.
La prière peut rejoindre et aider nos défunts dans leur désir et leur recherche de Dieu, à travers ce qu’ils ont vécu sur la terre. Dieu seul connaît le mystère de cette rencontre où notre prière peut toujours les accompagner. Quand l’Eglise invite à prier pour les défunts, elle invite aussi à poser un acte de foi en la communion des saints et en la vie éternelle à laquelle tous les hommes sont appelés.
Communauté de Paroisses Behren Bousbach Kerbach
Ont rejoint la maison du Père , prions pour eux.
ANNÉE 2011 /2012
BEHREN ( 48 )
Victor HAMM , Marianne KINTZIG , Candy NUNES-PEREIRA , André DE SABBATA , Vincent ETTIGHOFFER , Nordine KHELIFI , Charles BORY, Emilie SANTANDREA , Marthe HITTINGER , Stéphan SOJKA , Calogero COLLURA ,
Maria LAZOR , Geneviève JOLLY , Albert SCHWANDER , Yvette Kubiak , Stanislav VESEKY , Jeanne WEBER , Marie GUCKEISEN , Monique SELAN , René GAUTHIER , Gunther GEORG , Eveline OSIEKA , Octavie SCHALK , Nicole SCHMIDT , Jean WEYRATH , Aloyse KNOLL , Alphonse EGLOFF , Elfriede ZIMMER , Henriette ERSCHENS , Alice MORISSE , Maria ZANOSKAR , Jacques DUCASSE , Rosario LUPO , Aristina SCHRÖDER , Pietro LUNETTA , Emma SIMON , Louis MAYER , Gérard SEIDELMANN , Antonio GARIERI ,Thierry BERCESSIO ,Gaston ALLARD , Guiseppe CASAS , Nicole BAUER , Auguste MACHNIK , Thérèse ZIPPFEL , Paul BIENVENU , Stanislawa KASINSKI , Marie WEBER ,
MISSION ITALIENNE Behren ( 22 )
Guiseppina RIZZO , Giovanni DEMONTIS , Carmen LODISCO ,
Gisèle STUMPERT , Raimondo PORCU , Concetta CUNETTO , Vincenzo DI CARLO , Robert BAUDINOT , Jean PETERSEN , Antoinetta MORO , Alfredo Bozzarelli , Calogera AVELLINO-Di VITA , Antoine MICELI , Guido PAOLILLO , Antonia ECCA , Stéphane SALVAGGIO , Angelo ALOI , Antoine PORCU , Maddalena PIRAS , Francesco LENTINI , Giovanni TOLU , Giovanni Berrichillo ,
BOUSBACH ( 9 )
Marie TOUSCH , Ginette WEISHAR , Jean-Marie KENNEL ,Antoine BOUR , Madeleine VEJTZIK , Joséphine BORTOT , Louise VERNET , Laurent BATTISTON , Adrienne JACQUES
KERBACH ( 8 )
Jeanne HELLERINGER , Louise MUSZYNSKI ,
Marie BONIZZI , Albert GRY , Sylviane ALLMANG , Marcel ALLARD , Karl SCHMIDT , Roman MUSZYNSKI ,
en bleu : année 2011
Total Communauté 87 ( Revoir les annonces à la rubrique : Funérailles )
Prochaine réunion du conseil de fabrique de BEHREN : mercredi 21 novembre à 19 heures à Jean Bosco
(Extrait RL)
KERBACH
Eveil à la foi
Ce vendredi, 26 octobre, les enfants de 3 à 7 ans étaient invités au presbytère, par Carméla Tabone, animatrice en pastorale, pour une rencontre de l’éveil à la foi. Bricolages, chants et prières ont permis d’aborder simplement et ludiquement le thème de la Toussaint. La prochaine rencontre aura lieu en décembre sur le thème de Noël.
ARCHIPRÊTRÉ DE FORBACH
Le MCR fait sa rentrée
Les membres du Mouvement chrétiens des retraités de l'archiprêtré de Forbach se sont réunis autour de l’archiprêtre Gérard Zawadzki et les vicaires Stéphane Adam et Thomas Mehr pour assister à leur messe de rentrée. Après un café gâteaux pris en commun, ils sont repartis pour une année de réflexion sur leur thème d’année "La Rencontre de l’autre", thème commun aux 160 membres de l’archiprêtré de Forbach, les 1 500 membres du diocèse de Metz et les 60 000 de France.
( Résumé et extraits du RL)
7 ème NUIT DE LA CHARITÉ DANS L’ARCHIPRÊTRÉ DE FORBACH
Le programme
La nuit de la charité démarre ce samedi à 16 h devant le monument aux morts, rue Nationale. Les associations qui s’investissent dans la vie paroissiale présentent leurs activités aux stands. De 17 h à 19 h, Storo Mehrstein et ses musiciens interprétent de la musique tsigane. À 19 h, les compagnons Emmaüs servent la traditionnelle soupe de pois cassés et saucisse. À 20 h à l’église St-Rémi témoignage de Mrg Bernard Franck, sur le Concile Vatican II. À 21 h, les jeunes des clubs ACE (Action catholique des enfants) introduisent la nuit d’adoration, avec exposition du St-Sacrement, puis animation des temps de prières par les acteurs de la vie paroissiale. De minuit à dimanche matin, prière silencieuse.
Dimance à 7 h, les compagnons d’Emmaüs invitent au petit-déjeuner servi à côté de l’église St-Rémi. À 8 h, laudes et à 10 h messe solennelle concélébrée par les prêtres des paroisses de Forbach Œting et Mgr Franck.
Donner pour mieux recevoir
Hier à Forbach, le public a pu découvrir différents stands tenus par des associations caritatives dans le cadre de la
7 e Nuit de la charité. Des animations étaient proposées devant l’église Saint-Rémi dès 16 h. En soirée, une soupe a
été servie avant que tout le monde ne se retrouve à l’église pour une conférence.
Ce n’était pas la nuit de la charité mais plutôt l’été hier après-midi. Photo Philippe RIEDINGER
Un café par ci, un bout de gâteau par là, Murielle, bénévole au Comité catholique contre la faim participe avec ses amies à cette septième nuit de la solidarité. Sous la tente, elle anime un stand pour faire la promotion de l’association au sein de laquelle elle milite. Une quinzaine d’associations caritatives ont répondu présentes à cette action qui avait permis de récolter 400 euros pour la Maison d’accueil des Roumains à Forbach.
Cette année les dons récoltés bénéficieront à l’Action catholique pour les enfants. « Cela fait deux ans que l’on vient. C’est important pour nous de nous faire connaître », explique Murielle qui justifie son action auprès des plus démunis des autres pays. « Quand on me dit qu’il y a assez de misère à Forbach, je réponds que c’est notre devoir de chrétien de s’occuper de tous ceux qui souffrent. La mondialisation c’est aussi cela. »
Christian de Petite-Rosselle anime le stand d’une nouvelle association (Aleshsam) sur le secteur qu’il tente de faire connaître aux curieux. Il s’agit d’une structure d’entraide qui récolte de l’argent pour soutenir la construction de l’hôpital Sainte-Anne à Madagascar. « Les travaux ont commencé en 2007 et devraient être terminés pour 2015 », explique le bénévole dont l’association a vu le jour à Marly mais qui possède désormais une antenne à Petite-Rosselle.
« La solidarité doit être totale »
« C’est la première fois en sept années que nous avons du beau temps ! », se réjouit Jean-Luc Ferstler, responsable d’Emmaüs Forbach, cheville ouvrière de cette opération de solidarité. Hier, il était ravi de l’animation créée au centre-ville autour de cette Nuit de la charité.
Un commerçant regrettait toutefois qu’« on ait fermé la rue Nationale pour installer deux tentes ! Je pense qu’il y a assez de place à Forbach pour éviter de bloquer la rue Nationale un samedi après-midi ».
Pour Jean-Luc Ferstler, « la solidarité doit être totale. Nous avons fermé la rue qu’à 16 h et nous faisons cette action une fois par an. Je pense que tout le peut donner un peu une fois par an ».
En fin d’après-midi un concert de musique tsigane a été offert par la communauté de Forbach, et à 19 h c’est une bonne soupe aux pois qui a été servie.
La 7 e Nuit de la charité a débuté en musique hier au centre-ville de Forbach. Photo Philippe RIEDINGER
Hier à Forbach, le public a pu découvrir différents stands tenus par des associations caritatives dans le cadre de la 7 e Nuit de la charité. Des animations étaient proposées devant l’église Saint-Rémi dès 16 h. En soirée, une soupe a été servie avant que tout le monde ne se retrouve à l’église pour une conférence.
21 h, les jeunes des clubs ACE (Action catholique des enfants) introduisent la nuit d’adoration, avec exposition du St-Sacrement,
Concile Vatican II Mgr Franck témoigne
Ce soir, 20 octobre, à 20 h en l’église St-Rémi, Mgr Bernard Franck apporte son témoignage sur le Concile Vatican II.
De 1960 à 1968, il a travaillé à la Secrétairerie d’État de sa Sainteté, le pape Jean XXIII. Rencontre
Mgr Bernard Franck, titre honorifique qui lui a été accordé par le pape Jean XXIII, montre une photo de lui et sa maman Apolline Schwartz lors d’une audience privée chez le pape Paul VI ainsi que le Magistère de l’Église
Lors de la nuit de la charité, l’est une tradition : inviter une personnalité à témoigner de son vécu. Cette 7 eédition ayant pour thème le concile Vatican II, l’archiprêtré de Forbach a demandé à Mgr Bernard Franck, de donner ce soir une conférence sur ses 8 années passées à Rome, de 1960 à 1968, à l’époque du concile Vatican II. Bernard Franck, né en 1930 à Merlebach, a été ordonné prêtre à Merlebach en 1955. De 1955 à 1959, il a été vicaire à Saint-Avold. Puis pendant un an, il a fait à l’université de Strasbourg des études de théologie et de droit canonique. L’évêque de Metz, Paul-Joseph Schmitt, l’a ensuite envoyé à Rome pour poursuivre des études pendant un an. En fait il y est resté jusqu’en 1968. Par la suite, Mgr Franck a passé 27 ans au secrétariat et à l’officialité à l’évêché de Metz. Depuis 1995, il habite à Seingbouse, a été prêtre coopérateur pour le Bassin houiller jusqu’à sa retraite en 2006.
R.L. Quelles fonctions aviez-vous à Rome ?
Mgr Bernard Franck : « En 1961, alors que je résidais à St-Louis les Français (paroisse des Français de Rome), le supérieur de cette maison m’a demandé si je voulais entrer à la Secrétairerie d’État de sa Sainteté le pape Jean XXII dans le cadre de l’internationalisation. Cette secrétairerie est l’organe principal de la Curie romane. J’ai commencé mon service dans la section francophone. Nous étions trois : les cardinaux Poupard et Martin ainsi que moi-même à nous occuper de tout ce qui était adressé au pape en français. J’y suis resté pendant jusqu’en 1968, au contact de l’Église universelle, mais aussi de personnalités politiques, philosophes, penseurs. Cela a enrichi ma foi. C’est un vécu personnel que j’essaie de transmettre à d’autres.
Le concile vécu à Rome
R.L. : Le concile Vatican II, vous l’avez vécu sur place. Dans quelle mesure ?
Mgr B.F. : « J‘étais à la basilique St-Pierre le jour de l’ouverture du concile, le 11 octobre 1962. C’était un très grand moment : s’y retrouvaient les 2 500 évêques du monde entier. On a assisté à la messe pontificale lors de laquelle le pape Jean XXIII a prononcé un discours très important indiquant quels étaient le sens et le but du concile. Ce discours a surpris tout le monde »
R.L. : Pourquoi ?
Mgr B.F. : « Il y a eu le concile du Vatican I en 1870. On pensait que l’essentiel avait été dit. Mais Jean XXIII a voulu que l’Église se définisse d’après son identité, qui suis-je, pour qui et pourquoi ? Les évêques y ont réfléchi lors de quatre sessions de trois mois, de septembre à décembre, de 1962 à 1965. Ils ont publié 16 textes, résumant leurs discussions et réflexions.
Ces textes font référence à la liturgie. Le latin a été abandonné au profit des langues nationales pour célébrer les sacrements. L’Église s’ouvre au monde extérieur, communique davantage.
RL : Vous intervenez lors de la nuit de la charité. Qu’est-ce que cela signifie pour vous ?
Mgr B.F. : « La charité c’est très important. L’Église a une triple charge : témoigner de l’Évangile, célébrer les sacrements (baptêmes et eucharisties), rendre service. La diaconia c’est s’occuper des délaissés. Ces trois choses sont inséparables. Je les évoquerai lors de ma conférence samedi soir. Dimanche, lors de messe solennelle, je parlerai de la charité, d’après le concile Vatican II. C’est tout simplement la prise en charge par les chrétiens de toutes les détresses (morales et physiques) du monde, des besoins d’aujourd’hui, les pauvres, les prisonniers, les exilés. »
Propos recueillis par Éliane KREID
(extrait RL)
Behren / St Blaise
Les porte-drapeaux célèbrent leur saint patron
Les porte-drapeaux de Forbach Moselle-Est ont célébré leur patron, saint Denis, à Behren-lès-Forbach. Des élèves de l’école Hector-Berlioz ont activement participé à cette rencontre patriotique et surtout émouvante.
Sous l’égide de l’Amicale des porte-drapeaux de Forbach Moselle-Est, présidée par Christian Dubreuil, la Ville de Behren-lès-Forbach a accueilli, ce dimanche, la cérémonie de la Saint-Denis, patron des porte-drapeaux.
Peu avant 9 h, une haie d’honneur constitué de porte-drapeaux venus de tous les horizons se forme sur le parvis de l’église Saint-Blaise. L’abbé Jean-Luc Ferstler, curé de la paroisse, a invité les porte-drapeaux et les fidèles présents à la messe commémorative.
( Extrait RL)
Kerbach : Lâcher de ballons pour les missions
L’abbé Ferstler, entouré des enfants, au moment du lâcher de ballons.
A l’occasion de la semaine missionnaire mondiale qui se tient du 14 au 21 octobre, les prêtres de la communauté de paroisses " Notre Dame des Nations" ainsi que les bénévoles catéchistes ont invité les enfants à participer à un moment d’échange autour de la célébration de la messe dominicale.
L’église est appelée, partout dans le monde, à manifester sa solidarité à la Mission par la prière, le partage et l’information.
L’abbé Ferstler, lors de son homélie, a d’ailleurs rappelé que la première mission de l’Église était de « parler de Jésus aux enfants, même s’ils ne comprennent pas tout. » C’est pourquoi il s’est adressé directement aux enfants avec des mots simples en les questionnant et en leur faisant vivre l’Évangile. La célébration s’est achevée par un lâcher de ballons évoquant le message de cette semaine missionnaire " Allez ! De toutes les nations, Faites des disciples".
Voici encore quelques photos de la messe de lancement de la semaine des missions, animée par les enfants , ce dimanche en l'église de Kerbach
Voici quelques photos de la messe de lancement de la semaine des missions, animée par les enfants , ce dimanche en l'église de Kerbach
La Semaine Missionnaire Mondiale a lieu du 14 au 21 octobre 2012 et a pour thème
« Allez donc, de toutes les nations, faites des disciples… » (Matthieu 28, 19).
Particularités de la Semaine missionnaire mondiale 2012
La Semaine Missionnaire Mondiale se situe cette année dans un cadre tout particulier et voici ce qu’en dit Benoît XVI dans son Message pour la journée mondiale des missions : « Le 50e anniversaire de l'ouverture du concile Vatican II, l'ouverture de l'Année de la foi et le Synode des évêques sur la nouvelle évangélisation concourent à réaffirmer la volonté de l'Église de s'engager avec plus de courage et d'ardeur dans l’œuvre missionnaire afin que l'Évangile parvienne jusqu'aux extrémités de la terre. [...] La célébration de l'Année de la foi et du Synode des évêques sur la nouvelle évangélisation constitueront des occasions propices en vue de la relance de la coopération missionnaire ».
Pour faire connaître le Christ et partager avec d'autres la joie de sa présence, il nous faut avant tout nous ancrer fortement dans la foi, personnellement et en Eglise. La foi est un don que nous avons reçu et que nous avons à partager et à faire fructifier. La Semaine Missionnaire est un moment particulier où nous pouvons reprendre conscience plus clairement de cette responsabilité qui nous est confiée par notre baptême.
(extraits RL)
La Bible et le Coran ont tellement en commun
Hier soir, en la chapelle Sainte-Croix de Forbach, des catholiques et des musulmans ont prié ensemble et offert une image à des années lumières des tensions qui existent entre les communautés religieuses. Quelle émotion d’entendre ces chants, beaux et apaisants, en arabe, résonner sous les voûtes de l’édifice du XIIIe siècle. Et d’autres, en français, leur répondre que « l’amitié désarmera toutes les guerres ». Photo Philippe RIEDINGER
C’ est une histoire peu connue. Mahomet reçoit des chrétiens venus d’Ethiopie. Après un échange, ces derniers lui réclament un lieu où se retirer pour prier. Le prophète leur répond : Quel meilleur lieu qu’ici. Le prophète a mis à disposition sa mosquée pour des chrétiens. Mais ça, évidemment, les islamistes radicaux ne veulent pas en entendre parler », raconte Djamel Lahmar. Religieux et responsable de l’association Liens, il milite activement pour le dialogue interreligieux. Avec Jean-Paul Lebeau, diacre, et les représentantes des sœurs de la Congrégation de la providence de Saint-André de Peltre, il a participé à une prière œcuménique, hier soir, en la chapelle Sainte-Croix à Forbach.
(Extraits RL du 7/10/12)
ACE : des bénévoles engagés pour les enfants
Les bénévoles de l’Action catholique des enfants du secteur de Forbach font leur rentrée. Photo RL
Ce mercredi 3 octobre avait lieu la réunion de rentrée des bénévoles de l’ACE (Action catholique des enfants) de l’archiprêtré de Forbach, au presbytère de Kerbach. C’est Carmela Tabone, animatrice laïque en pastorale, qui a en charge la coordination des différents clubs de l’ACE des paroisses d’Œting, de Marienau, de Bellevue, du Wiesberg, de Spicheren, de Petite-Rosselle, de Behren et de Kerbach.
L’objectif de cette rencontre était de faire connaître aux bénévoles, les outils pédagogiques à leur disposition afin de permettre le démarrage des différents clubs.
Victor Benz, président départemental de l’ACE en a profité pour rappeler les enjeux du projet éducatif qui se résume en quatre mots simples, "vivre, croire, agir pour grandir". Il s’est félicité de voir que le secteur de Forbach était très dynamique grâce notamment au soutien de l’archiprêtre de Forbach Gérard Zawadzki qui encourage fortement toutes les actions à destination des plus jeunes.
Il est à noter que huit animateurs ont renforcé cette année l’équipe de bénévoles et que deux nouveaux clubs ont été créés portant le nombre total de clubs à neuf. L’an passé pas moins de 60 enfants étaient inscrits dans les différentes paroisses.
Dans le secteur, l’ACE est essentiellement destinée à des enfants de 8 à 11 ans qui s’apprêtent donc à faire leur première communion. On les appelle les "Fripounets" et ils se réunissent tous les 15 jours pour jouer, vivre des expériences de vie, s’ouvrir au monde, aux copains et à Dieu. Le club est pour eux un lieu de créativité pour mener des projets, des actions de solidarité pour prendre des responsabilités.
Après la traditionnelle fête de bienvenue qui s’est déroulée dans les différents clubs, les bénévoles ont déjà réfléchi aux prochaines rencontres qui auront pour but la participation des enfants à la nuit de la charité, qui aura lieu le samedi 20 octobre à l’église St Rémi de Forbach.
Renseignements et inscriptions à l’ACE : Carmela Tabone 06 69 30 22 01.
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