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7ème Nuit de la Charité 2012 - par gerard le 22/10/2012 @ 14:18

( Résumé et extraits du RL) 

ème NUIT DE LA CHARITÉ DANS L’ARCHIPRÊTRÉ DE FORBACH 

Le programme

 

La nuit de la charité démarre ce samedi à 16 h devant le monument aux morts, rue Nationale. Les associations qui s’investissent dans la vie paroissiale présentent leurs activités aux stands. De 17 h à 19 h, Storo Mehrstein et ses musiciens interprétent de la musique tsigane. À 19 h, les compagnons Emmaüs servent la traditionnelle soupe de pois cassés et saucisse. À 20 h à l’église St-Rémi témoignage de Mrg Bernard Franck, sur le Concile Vatican II. À 21 h, les jeunes des clubs ACE (Action catholique des enfants) introduisent la nuit d’adoration, avec exposition du St-Sacrement, puis animation des temps de prières par les acteurs de la vie paroissiale. De minuit à dimanche matin, prière silencieuse.

Dimance à 7 h, les compagnons d’Emmaüs invitent au petit-déjeuner servi à côté de l’église St-Rémi. À 8 h, laudes et à 10 h messe solennelle concélébrée par les prêtres des paroisses de Forbach Œting et Mgr Franck.


Donner pour mieux recevoir

   Hier à Forbach, le public a pu découvrir différents stands tenus par des associations caritatives dans le cadre de la
e Nuit de la charité. Des animations étaient proposées devant l’église Saint-Rémi dès 16 h. En soirée, une soupe a
été servie avant que tout le monde ne se retrouve à l’église pour une conférence.
 
Ce n’était pas la nuit de la charité mais plutôt l’été hier après-midi.  Photo Philippe RIEDINGER

Ce n’était pas la nuit de la charité mais plutôt l’été hier après-midi. Photo Philippe RIEDINGER

 

Un café par ci, un bout de gâteau par là, Murielle, bénévole au Comité catholique contre la faim participe avec ses amies à cette septième nuit de la solidarité. Sous la tente, elle anime un stand pour faire la promotion de l’association au sein de laquelle elle milite. Une quinzaine d’associations caritatives ont répondu présentes à cette action qui avait permis de récolter 400 euros pour la Maison d’accueil des Roumains à Forbach.

Cette année les dons récoltés bénéficieront à l’Action catholique pour les enfants. « Cela fait deux ans que l’on vient. C’est important pour nous de nous faire connaître », explique Murielle qui justifie son action auprès des plus démunis des autres pays. « Quand on me dit qu’il y a assez de misère à Forbach, je réponds que c’est notre devoir de chrétien de s’occuper de tous ceux qui souffrent. La mondialisation c’est aussi cela. »

Christian de Petite-Rosselle anime le stand d’une nouvelle association (Aleshsam) sur le secteur qu’il tente de faire connaître aux curieux. Il s’agit d’une structure d’entraide qui récolte de l’argent pour soutenir la construction de l’hôpital Sainte-Anne à Madagascar. « Les travaux ont commencé en 2007 et devraient être terminés pour 2015 », explique le bénévole dont l’association a vu le jour à Marly mais qui possède désormais une antenne à Petite-Rosselle.

« La solidarité doit être totale »

« C’est la première fois en sept années que nous avons du beau temps ! », se réjouit Jean-Luc Ferstler, responsable d’Emmaüs Forbach, cheville ouvrière de cette opération de solidarité. Hier, il était ravi de l’animation créée au centre-ville autour de cette Nuit de la charité.

Un commerçant regrettait toutefois qu’« on ait fermé la rue Nationale pour installer deux tentes ! Je pense qu’il y a assez de place à Forbach pour éviter de bloquer la rue Nationale un samedi après-midi ».

Pour Jean-Luc Ferstler, « la solidarité doit être totale. Nous avons fermé la rue qu’à 16 h et nous faisons cette action une fois par an. Je pense que tout le peut donner un peu une fois par an ».

En fin d’après-midi un concert de musique tsigane a été offert par la communauté de Forbach, et à 19 h c’est une bonne soupe aux pois qui a été servie.
 

 La 7 e Nuit de la charité a débuté en musique hier au centre-ville de Forbach.  Photo Philippe RIEDINGER

La 7 e Nuit de la charité a débuté en musique hier au centre-ville de Forbach. Photo Philippe RIEDINGER

 

Hier à Forbach, le public a pu découvrir différents stands tenus par des associations caritatives dans le cadre de la 7 e Nuit de la charité. Des animations étaient proposées devant l’église Saint-Rémi dès 16 h. En soirée, une soupe a été servie avant que tout le monde ne se retrouve à l’église pour une conférence.

 


21 h, les jeunes des clubs ACE (Action catholique des enfants) introduisent la nuit d’adoration, avec exposition du St-Sacrement, 
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Concile Vatican II Mgr Franck témoigne

Ce soir, 20 octobre, à 20 h en l’église St-Rémi, Mgr Bernard Franck apporte son témoignage sur le Concile Vatican II.
De 1960 à 1968, il a travaillé à la Secrétairerie d’État de sa Sainteté, le pape Jean XXIII. Rencontre

Mgr Bernard Franck, titre honorifique qui lui a été accordé par le pape Jean XXIII, montre  une photo de lui et sa maman Apolline Schwartz lors d’une audience privée chez le pape Paul VI ainsi que le Magistère de l’Église

Mgr Bernard Franck, titre honorifique qui lui a été accordé par le pape Jean XXIII, montre une photo de lui et sa maman Apolline Schwartz lors d’une audience privée chez le pape Paul VI ainsi que le Magistère de l’Église

 

 


Photo DR


Lors de la nuit de la charité, l’est une tradition : inviter une personnalité à témoigner de son vécu. Cette 7 eédition ayant pour thème le concile Vatican II, l’archiprêtré de Forbach a demandé à Mgr Bernard Franck, de donner ce soir une conférence sur ses 8 années passées à Rome, de 1960 à 1968, à l’époque du concile Vatican II. Bernard Franck, né en 1930 à Merlebach, a été ordonné prêtre à Merlebach en 1955. De 1955 à 1959, il a été vicaire à Saint-Avold. Puis pendant un an, il a fait à l’université de Strasbourg des études de théologie et de droit canonique. L’évêque de Metz, Paul-Joseph Schmitt, l’a ensuite envoyé à Rome pour poursuivre des études pendant un an. En fait il y est resté jusqu’en 1968. Par la suite, Mgr Franck a passé 27 ans au secrétariat et à l’officialité à l’évêché de Metz. Depuis 1995, il habite à Seingbouse, a été prêtre coopérateur pour le Bassin houiller jusqu’à sa retraite en 2006.

R.L. Quelles fonctions aviez-vous à Rome ?

Mgr Bernard Franck : « En 1961, alors que je résidais à St-Louis les Français (paroisse des Français de Rome), le supérieur de cette maison m’a demandé si je voulais entrer à la Secrétairerie d’État de sa Sainteté le pape Jean XXII dans le cadre de l’internationalisation. Cette secrétairerie est l’organe principal de la Curie romane. J’ai commencé mon service dans la section francophone. Nous étions trois : les cardinaux Poupard et Martin ainsi que moi-même à nous occuper de tout ce qui était adressé au pape en français. J’y suis resté pendant jusqu’en 1968, au contact de l’Église universelle, mais aussi de personnalités politiques, philosophes, penseurs. Cela a enrichi ma foi. C’est un vécu personnel que j’essaie de transmettre à d’autres.

Le concile vécu à Rome

R.L. : Le concile Vatican II, vous l’avez vécu sur place. Dans quelle mesure ?

Mgr B.F. : « J‘étais à la basilique St-Pierre le jour de l’ouverture du concile, le 11 octobre 1962. C’était un très grand moment : s’y retrouvaient les 2 500 évêques du monde entier. On a assisté à la messe pontificale lors de laquelle le pape Jean XXIII a prononcé un discours très important indiquant quels étaient le sens et le but du concile. Ce discours a surpris tout le monde »

R.L. : Pourquoi ?

Mgr B.F. : « Il y a eu le concile du Vatican I en 1870. On pensait que l’essentiel avait été dit. Mais Jean XXIII a voulu que l’Église se définisse d’après son identité, qui suis-je, pour qui et pourquoi ? Les évêques y ont réfléchi lors de quatre sessions de trois mois, de septembre à décembre, de 1962 à 1965. Ils ont publié 16 textes, résumant leurs discussions et réflexions.

Ces textes font référence à la liturgie. Le latin a été abandonné au profit des langues nationales pour célébrer les sacrements. L’Église s’ouvre au monde extérieur, communique davantage.

RL : Vous intervenez lors de la nuit de la charité. Qu’est-ce que cela signifie pour vous ?

Mgr B.F. : « La charité c’est très important. L’Église a une triple charge : témoigner de l’Évangile, célébrer les sacrements (baptêmes et eucharisties), rendre service. La diaconia c’est s’occuper des délaissés. Ces trois choses sont inséparables. Je les évoquerai lors de ma conférence samedi soir. Dimanche, lors de messe solennelle, je parlerai de la charité, d’après le concile Vatican II. C’est tout simplement la prise en charge par les chrétiens de toutes les détresses (morales et physiques) du monde, des besoins d’aujourd’hui, les pauvres, les prisonniers, les exilés. »

Propos recueillis par Éliane KREID 

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